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vendredi 23 mai 2014

Le billet normé

Le comité de rédaction s'est réuni juste après un solide petit-déjeuner. La réunion n'a pas duré longtemps. En moins de 10 mn, mes animaux sont tombés d'accord : sur Horizon, peut être considéré comme billet tout texte qui comportera un titre et au minimum une ligne composée d'environ 75 signes. Pour les billets les plus longs, le rédacteur veillera à ne pas excéder les 2000 signes. Il ne doit pas perdre de vue que l'internaute moyen est semi-illettré. Pour lui, surfer sur le Web, c'est passer presque tout son temps à regarder des vidéos plus ou moins débiles et consulter des bulletins météorologiques tout aussi insignifiants. Pour ce petit cerveau, lire 25 lignes d'un seul trait représente un véritable exploit. Lui demander d'aller au-delà, c'est mettre en danger son équilibre mental. Bon, trêve de digression ! D'après le comité de rédaction de ce blog, un billet est un texte qui comporte entre 75 et 2000 signes, 1 à 25 lignes. A retenir !

Le comité de rédaction

Mes animaux viennent de me faire remarquer qu'il est plus de 01:00 AM et que ce n'est pas le moment de réunir le comité de rédaction. Il faudra parler du sujet qui nous préoccupe lors de la prochaine réunion. Elle ne peut avoir lieu avant le lever du jour. On verra ça demain, dans la matinée.

Qu'est-ce qu'un billet ?

14 billets à mettre en ligne, sur Horizon, en une semaine, soit 2 billets par jour à rédiger. Alors autant s'y mettre tout de suite et ne pas perdre de temps. Mais, qu'est-ce qu'un billet ? A partir de combien de signes, alignés les uns à la suite des autres, peut-on parler de billet ? Je vais en parler à mes animaux, ce sont eux qui forment le comité de rédaction de ce blog.

Record à battre

Après ce billet, il me faudrait encore en publier 14, avant le fin du mois de mai, pour être au même nombre — 94 — de publications que l'année dernière, sur une période de 5 mois. A partir de là, je pourrais décider, ou non, de battre le record établi en 2013, soit 180 billets mis en ligne au cours de l'année. En admettant que je tente d'y parvenir, il me faudrait alors rédiger trois billets par semaine entre le 1e juin et la fin de 2014. Ce qui ne représente pas a priori un travail titanesque. Mais, Pat, qui réfléchit toujours longuement avant de se lancer dans l'action, me conseille d'en faire autant et de ne pas m'aventurer dans cette histoire sans y avoir bien pensé au préalable. 14 billets à publier en une semaine, donc, avant de pouvoir envisager un nouveau record. C'est peut-être réalisable.

mercredi 21 mai 2014

La voix de la raison

Je suis saisi d'un sentiment étrange, assez ambivalent, à la lecture des quatre ou cinq billets qui précèdent celui-ci : j'arrive à me convaincre que je ne suis pas tout à fait idiot, mais cette sensation est aussitôt contredite par une petite voix qui se faufile sous mon crâne pour me dire d'un ton suave : « Si tu n'es pas complètement idiot, ainsi que tu aimerais le croire, que fais-tu alors à perdre bêtement ton temps en écrivant pour un blog que personne, ou presque, ne lira jamais ? » Oui...

mardi 20 mai 2014

Rédacteur

Profession : rédacteur de blogs pour analphabètes.

jeudi 8 mai 2014

Généalogie

Je n'ai rien publié sur Horizon depuis deux jours. Aussi, j'ai l'impression d'entendre les clameurs d'une foule immense, massée sous mes fenêtres, qui implore sans répits la mise en ligne de quelques phrases, quelques mots seulement, afin d'apaiser sa soif de lecture. Je pourrais lui dire, pour la calmer, que je suis en train d'examiner mon arbre généalogique. Lui révéler qu'en allant vers la plus profonde des racines — in illud tempus —, j'ai découvert une ascendance grecque assez surprenante. En effet, dans ma lignée directe, une branche ancestrale prend son origine avec le nom d'un patriarche qui, de nos jours, reste encore relativement célèbre. Comme je ne veux rien cacher à cette foule impatiente, je me sens dans l'obligation de parler de cette découverte et de lui dire ce, qu'après tout, elle sait déjà de façon intuitive. Cet ascendant, le plus ancien des anciens, s'appelle tout simplement : Zeus. En y repensant, je n'y vois rien de très étonnant. Je crois, d'ailleurs, l'avoir toujours su. Voilà, c'est écrit. Je remarque que la foule est, à présent, presque silencieuse. Je n'entends plus qu'une douce rumeur. Mes animaux et moi, nous pouvons maintenant aller tranquillement nous coucher. La nuit sera paisible.

lundi 5 mai 2014

Fondamental

mercredi 30 avril 2014

Allez, Marcel !

Avec De bonne heure, j'ai atteint le cap des 600 billets sur Horizon, ce qui ne me semble pas tout à fait négligeable. Bien sûr, ce que je conçois presque comme un exploit n'aurait pu qu'arracher un sourire ironique, sardonique, méprisant peut-être, à un type tel que Proust parce que ça n'aurait représenté, pour lui, s'il avait vécu à l'ère des blogs, que, tout au plus, quelques jours d'écriture, alors qu'il m'aura fallu plus de 5 ans pour en arriver là. Mais, que Proust ne rigole pas trop quand même, car quand je pense qu'il a noirci des tonnes de feuilles de papier sans raison valable, seulement pour apaiser ses angoisses, moi aussi, je peux me fendre d'un sourire... compatissant et peut-être même condescendant. Allez, Marcel ! Sans rancune.

dimanche 27 avril 2014

La Carte

Je suis encore sous le coup de l'émotion provoquée, ce matin, par la publication d'un billet composé de 2234 signes. J'ai un peu de mal à réaliser que je suis l'auteur d'un tel exploit. Il va falloir que je m'y fasse. C'est peut-être la création d'une planche représentant William S. Burroughs, un instant auparavant, qui m'a incité à écrire autant de mots. Je ne trouve pas d'autres explications. Demain, débute une nouvelle semaine, mais je n'ai, actuellement, aucun projet pour occuper dignement les jours à venir. Je pense finir la lecture du dernier roman de Michel Houellebecq, La Carte et le territoire, que j'avais entamé à sa sortie et que j'avais laissé tomber au bout d'une trentaine de pages. Je l'ai repris, il y a trois ou quatre jours. Je pense maintenant le lire jusqu'au bout. Ce n'est pas ce que j'ai lu de pire, mais le problème, c'est que Houellebecq ne m'apporte rien ou pas grand chose. Son texte n'a rien de révélateur à mes yeux. Son regard désabusé sur la société française est habilement retranscrit, la distance qui fait l'ironie de son discours est bien choisie, on y trouve de bons mots, mais son point de vue n'est pas en décalage suffisant avec le mien, ce qui fait que la lecture de ce roman ne m'emballe pas beaucoup. C'est le premier ouvrage de cet auteur que je lis, et je crois bien que ce sera le dernier. Je pense déjà au prochain livre que j'ouvrirai, sans savoir encore vers quel écrivain je me dirigerai, mais ça ne sera certainement pas un auteur encore en vie. Un bon écrivain est un écrivain mort ou presque !

Clarification

Selon Virginia Woolf, l'art d'écrire s'apprend, car il « est au moins aussi difficile que les autres arts. Bien que les gens ne tiennent pas compte de ce genre d'éducation, peut-être parce qu'il est mal défini, vous verrez, en y regardant de près, que presque tous les écrivains qui ont pratiqué leur art avec succès l'avaient appris. » C'est une opinion que je partage. Je crois que l'art d'écrire demande un long apprentissage accompagné d'une volonté sans faille pour atteindre, ou plutôt, se rapprocher de ce but. Je n'ai jamais eu pour réelle ambition de faire de mon écriture un art véritable. Mes seuls soucis, lorsque j'ai commencé à écrire sur un blog, étaient d'ordre orthographique et syntaxique. Parce qu'un bon correcteur automatique facilite grandement la maîtrise de l'orthographe, je m'appliquais particulièrement à veiller sur la syntaxe. Je voulais avant tout que mes textes soient facilement lisibles. Dix ans plus tard, après avoir rédigé quelques centaines de billets, je considère que cet objectif est atteint. Je ne crois pas qu'un éventuel lecteur ait à se tordre les méninges pour déchiffrer le sens de mes phrases. Je suis maintenant trop vieux pour passer à l'étape supérieure, celle qui consisterait à faire de mon écriture un art. Bien sûr, comme 99,99 % des blogueurs, qui dans ce domaine n'ont jamais rien appris, je pourrais me bercer d'illusions, imaginer que je suis proche du Nobel de littérature. Encore faudrait-il, pour cela, que je puisse me faire à l'idée de devenir un écrivain ayant rendu de grands services à l'humanité. Mais, je n'ai aucune envie de me mettre au service de cette racaille. J'ai d'ailleurs suffisamment de travail avec mes animaux en me pliant humblement, tous les jours, à tous leurs desiderata. Ils me sont bien plus précieux que les sept milliards de petits cerveaux débiles qui peuplent la planète. Je ne serai donc pas invité à fréquenter les salons de l'Académie suédoise. Je n'ai aucun mal à renoncer à cette idée. Pourvu que mes textes soient clairs, presque aussi limpides que l'azur du ciel quand souffle le vent du Nord. Car écrire, c'est aussi une façon de déblayer les déchets moisis ou desséchés — selon l'humeur du temps — qui encrassent mes nobles pensées.

mardi 15 avril 2014

Patience

Un très beau portrait de Saki au regard très expressif. Le plus jeune de mes animaux est vraiment magnifique. Un texte, publié dans l'après-midi, sur Noyau Fondamental. Avec Le Match, la liste des billets sur ce blogs s'allonge un peu, bien qu'elle ne soit pas très fournie. Noyau Fondamental a vu le jour le 15 avril 2013 — un an ! — et ne compte, pour le moment, que 27 publications. Ce qui prouve, sans appel, que je n'appartiens pas à la catégorie des graphomanes. Le printemps est bien installé sur la région et je ne peux m'empêcher de regretter l'hiver, période pendant laquelle le quadrupède humain est le moins enclin à emmerder son voisin. Heureusement, dans une dizaine de jours, les vacances débuteront et la majeure partie des locataires de la résidence ira se faire voir ailleurs. C'est, en tout cas, ce que, mes animaux et moi, nous espérons. Patience.

mardi 1 avril 2014

Rien

Je me creuse la cervelle pour essayer d'extraire quelques phrases qui pourraient remplir un peu d'espace, de quoi remplir un billet ; histoire de marquer le premier jour d'avril. Mais, je ne remonte rien, ou presque rien, à la surface. À l'évidence, je n'ai rien à dire. Alors, je me contenterai de cette petite centaine de mots pour poser le premier jalon et ouvrir ainsi la liste des billets qui seront publiés ce mois-ci. Je reprendrai peut-être le clavier, un peu plus tard, dans la nuit. Je vais creuser plus profond.

dimanche 30 mars 2014

Étrange satisfaction

Après avoir publié un billet sur Horizon, invariablement, j'éprouve une étrange satisfaction. Étrange, parce que démesurée au regard de la taille — un millier de signes — et de la qualité — ordinaire — du texte que je viens de rédiger. Ce sentiment trouve peut-être sa source dans l'impression d'avoir publiquement extériorisé une idée, une opinion, aussi banales soient-elles. Mais encore, étrange, parce que ce ne sont que les publications sur Horizon, et non sur l'ensemble de mes blogs, qui me procurent cette sensation. En y réfléchissant, je suis tenté de penser que c'est l'emploi immodéré d'un grand nombre de pronoms personnels, écrits à la première personne du singulier, qui engendre le plaisir inhérent à ces publications. Je, je, je... J'existe ! Absolument pathétique. Une sieste avec mes animaux s'impose. Ils savent parfaitement calmer mes émotions.

samedi 29 mars 2014

De travers

Dernier billet écrit sous le régime des horaires hivernaux. Je ne me prononcerai pas sur le passage à l'heure d'été, qui aura lieu dans la nuit, parce que c'est quelque chose qui me met en rage lorsque j'y pense. Donc, passons directement à un autre sujet. N'importe quel autre fera l'affaire. Comme le fait, qu'il y a 5 ans, je lançais un nouveau blog : d'abord intitulé SCH 2009 et rebaptisé Traverses, par la suite. Or, Traverses est à l'abandon depuis le mois de juillet 2013. Pour un tas de raisons, je n'ai pas pris la peine de rédiger et publier, pour ce blog, un billet quelconque au cours des mois passés. L'une des raisons peut trouver sa cause dans le désintérêt total que je porte, aujourd'hui, à la marche du monde tel que la presse s'en fait inlassablement l'écho, alors que Traverses reflétait généralement mes humeurs, conséquences de ce que les médias pouvaient apporter comme informations ou pseudo informations. La ligne directrice de ce blog, l'angle de mes publications se sont ainsi brisés. Il me faudrait changer de thème pour pouvoir relancer Traverses. Mais, jusqu'à maintenant, je n'en ai pas éprouvé la nécessité. D'ailleurs, au fil du temps, de moins en moins de choses me semblent réellement nécessaires. Apanage de la vieillesse.

samedi 15 mars 2014

Créativité

D'après les cognitivistes — entendez par là une certaine catégorie de psychologues —, l'animal humain se montre créatif soit tôt le matin, soit tard dans la soirée. Par créativité, cette variété de psychologues parle de ce que peuvent mettre en oeuvre les artistes, les scientifiques, les philosophes, les entrepreneurs, les architectes, etc., toutes ces espèces qui forment la surface lisse, brillante et gratinée de l'humanité. Donc, tout le monde n'est pas créatif, mais, de surcroît, pour le devenir il faut choisir son heure. Le problème, c'est que je ne nage pas dans le gratin et que mon horloge interne a, depuis longtemps déjà, rendu l'âme. Pourtant, je suis en mesure de produire un billet, tel que celui-ci — reflet d'une indéniable créativité —, en début d'après-midi. Je suis l'exception qui confirme la théorie des cognitivistes. Ils vont m'adorer.

jeudi 13 mars 2014

Une goutte d'eau

Je ne me rappelais pas avoir rédigé ce qui suit : « Je crois que j'écris pour voir les heures se matérialiser. Comme écrire est quelque chose qui se fait de manière linéaire, chaque mot est le reflet d'un instant. Aussi écrire, c'est, pour moi, regarder couler le temps, le suivre des yeux, comme on regarde une goutte d'eau glisser le long d'une vitre, un jour de pluie. » Ça date du 20 mars 2009. Je me dis que, 5 années plus tard, mon état d'esprit vis-à-vis de mes écrits n'a pas changé. Depuis, les gouttes d'eau se sont tout simplement transformées en une étroite et sinueuse rigole.

mardi 4 mars 2014

Résistance


Ce qui est déplorable, lamentable, désolant quand on s'est mis en tête de tenir à jour son blog, c'est qu'on se voit contraint d'écrire, alors qu'on a presque rien à dire, la plupart du temps. Donc, résigné, on écrit ce qu'on peut ; on se dit qu'on résiste, histoire de se rassurer et de faire semblant de croire en Deleuze, ce grand délirant. Beaucoup de vent soufflant du Nord, ce matin. Un ciel bleu pâle parsemé de tous petits nuages informes, insignifiants. Saki et moi, nos regards orientés vers les rambardes du balcon, nous attendons Schwartz qui devrait être déjà là.

samedi 1 février 2014

Occuper les journées

Des conditions météorologiques épouvantables, c'est-à-dire qu'il pleut et qu'il fait assez froid — environ 10° C. J'avais prévu de faire quelques courses cet après-midi, car les stocks alimentaires sont au plus bas, mais je ne m'aventurerai pas à l'extérieur de l'appartement plongé dans la pénombre tellement le ciel est sombre. Mes animaux ne s'éloignent pas des radiateurs et ne réclament même pas leur repas. Ils dorment en attendant des jours meilleurs. Aussi, je n'ai rien de mieux à faire que de relater cette situation sur Horizon. Bizarrement, la connexion ADSL fonctionne normalement depuis quelques jours, mais ça ne durera sûrement pas. Je n'ai presque pas utilisé le Nikon en ce début d'année, ce qui fait que je passe le temps en dessinant quotidiennement des planches que j'affiche sur Le jour ne se lèvera jamais. À l'heure qu'il est, ce blog compte 31 planches, dont 29 publiées au cours de la dernière semaine de janvier. Quelques textes très courts, écrits pour Noyau Fondamental, sont à lire : reflets de mon état d'esprit en cette période hivernale. Le dernier écrit, Le temps perdu, date de ce matin. Rien de plus, pour l'instant.

dimanche 8 décembre 2013

Je pense à eux

Ah ! Mais que deviendrais-je si je n'avais pas mes animaux pour surveiller mes actions, lire et relire, avant publication, ma production artistique ? D'autant plus que BBL, surchargée de travail, n'a pas en cette période une minute pour veiller, a posteriori, sur ce que je peux écrire pour Horizon et me faire part ensuite de ses lumineuses remarques. Sans eux, les billets, qui s'empilent sur ce blog, ne seraient qu'une longue série de textes vantant les mérites stylistiques de l'auteur, exposant la manière héroïque dont il conduit, d'une main ferme et vigoureuse, son valeureux discours jusqu'au point final. Sans eux, je serais un blogueur qui se laisserait aller, comme la plupart des écrivains, à chanter sa propre gloire de manière plus ou moins explicite, bien que les lecteurs aiment à ce que les artistes présentent la face humble de leur personnalité, c'est-à-dire qu'ils se montrent déguisés sous les oripeaux de l'humilité. C'est ce que me rappellent sans cesse mes animaux. « Ne gâche pas l'admiration sans bornes de tes lecteurs en mettant trop en avant tes indubitables talents. Pense de temps à autre à écrire quelques âneries, qu'elles ne soient pas quotidiennes, certes, mais pense tout de même à te montrer proche d'eux. Ne surestime pas leurs faibles capacités intellectuelles, elles sont le lot du quadrupède humain ordinaire », me disent-ils. J'ai là des conseillers forts raisonnables. Aussi, je n'hésite jamais à prendre en compte leurs recommandations. D'où les quelques banalités dans mes propos, des facilités qui émaillent, de-ci de-là, sur certains billets. Voilà, pour mes futurs biographes. Je tiens à leur faciliter la tâche. Je pense aussi à eux.

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