vendredi 11 mars 2011

Choice Quality

Impossible de m'habituer aux Winston. J'ai essayé de fumer des Pall Mall. Ça ne changeait rien. C'était pareil : je ne prenais plus aucun plaisir à griller des cigarettes. J'ai découvert que les Camel sans filtre étaient toujours en vente. Depuis, ça va beaucoup mieux. Je commence enfin à faire mon deuil des Craven A.

dimanche 6 mars 2011

Ruines

Le billet précédent est insignifiant, ce n'est pas le seul, je le sais. C'est le genre de textes que je devrais éviter de publier. D'autant plus que ce n'est pas à la relecture que je constate la vacuité de tels billets. Quand un texte est inutile, j'en ai pleinement conscience. Dans le temps même où les lignes se dessinent sur l'écran, je perçois la stérilité du propos. Je me console en me persuadant que ma composition sera meilleure la prochaine fois. Je ne renonce pas.ruinesMalheureusement, la fois suivante, c'est souvent pire. Néanmoins, ceci ne m'empêchera toujours pas de mettre en ligne l'informe amas de mots mal empilés que j'ai eu tant de peine à rédiger. Parce que les textes les plus nuls sont ceux qui me demandent le plus d'efforts. Alors que je n'ai rien à dire, alors que pas la moindre lueur ne scintille dans mon esprit brumeux, je me contrains pourtant, sous un prétexte ou un autre, à écrire un billet. Après m'être infligé volontairement un supplice de la sorte, je ne peux me résoudre à détruire le fruit pourri et mal formé des mes souffrances. Voici, la cause de tant de billets bancals, tant de ruines qui se découpent sur l'Horizon.

jeudi 3 mars 2011

Comptabilité

Il ne me reste plus que 172 pages à lire pour terminer Les Aventures de Tchitchikov, autrement dit Les Âmes mortes, de Nicolas Gogol. Comme je n'en suis qu'à la 123ème page de Tu dois changer ta vie !, le dernier essai de Peter Sloterdijk entamé hier, je n'ai plus qu'environ 500 pages à lire pour arriver au bout de cet ouvrage. Ensuite, il me faudra poursuivre ma lecture sur un peu plus d'une millier de pages, afin de prendre connaissance de l'oeuvre complète de Flannery O'Connor, sachant que je ne relirai peut-être pas Les braves gens ne courent pas les rues, l'un de ses recueils composé de 10 excellentes nouvelles, puisque je l'ai lu il y a tout juste un an. J'aurai donc l'esprit suffisamment occupé dans les prochains jours. C'est un bon prétexte pour délaisser Twitter pendant quelques temps. Twitter sur lequel j'ai inscris, à 20:40 h, le 10.000éme message ou tweet dans le jargon du microblogger. Voilà, ce sera tout. L'exercice de comptabilité s'arrête ici.

lundi 28 février 2011

Au fil du temps

Seuls Mikkado et Horizon trouvent vraiment grâce à mes yeux. Ce sont deux blogs qui ne sont pas destinés à communiquer de véritables informations, dans le sens où il ne sont pas construits pour un public quelconque, mais produits pour être éventuellement consultés par le cercle très restreint de mon entourage : une façon de signifier à distance que, BBL, nos animaux et moi, nous sommes toujours vivants.crossroadMais, plus encore, Mikkado et Horizon matérialisent à des fins personnelles le défilement du temps, le morcellement de l'espace. Ces deux blogs forment une sorte de mémoire objective externalisée et dessinent le flux ininterrompu des petits souvenirs, tel un fil d'Ariane dans l'éprouvant labyrinthe du monstre Chronos.

Emploi du temps

Créativité : zéro ! Il faut que je renonce temporairement à l'idée de mettre en ligne des textes, des citations, des photos, des dessins, des graphiques, des planches numériques et toutes sortes de choses qui, pour moi, représentent actuellement moins d'intérêt. Cette activité ne m'apporte plus beaucoup de satisfactions. C'est même le contraire qui se produit : les blogs sont devenus synonymes d'ennui. J'en arrive à penser les mises à jour comme de véritables contraintes. J'ai pu me donner l'impression d'avoir encore quelque chose à exprimer en accumulant des monceaux de textes et d'images par la simple opération du copier/coller. C'est ce qui s'est produit sur Notesu, DeLIGNE, Spectator, Posterous, Jonctions... Je perçois parfaitement la vacuité d'une telle entreprise ; sinon pour une question d'archivage de données qui m'aident à mémoriser quelques unes de mes lectures sous formes de fragments, des prises de notes en quelque sorte. Ce sont des publications auxquelles je pourrai facilement mettre fin, bien qu'un nombre assez considérable de billets soient régulièrement consultés. J'y repenserai. La fin de l'hiver m'incite à reconsidérer mon emploi du temps.

Après l’hiver

amandier
amandier
amandier
amandier

samedi 26 février 2011

Craven A, suite et fin

Deux buralistes m'avaient affirmés que les Craven A sans filtres n'étaient plus à vendre. Je n'avais pas voulu les croire. Pourtant, ils ne m'avaient pas racontés d'histoires. A ce jour, tous les bureaux de tabac ont épuisés les stocks de Craven A. Je dois accepter la triste réalité : la Régie des Tabac ne distribue plus de cigarettes sans filtres. Je suis condamné à fumer des Winston.

mardi 22 février 2011

Iko Iko

Une semaine passée sans franchir le seuil de l'appartement. Troisième jour sans pain. Un seul paquet de Craven A en réserve. Deux poubelles de trente litres pleines sur le balcon. J'imagine la boite aux lettres débordante de prospectus publicitaires. Les conditions météorologiques ne sont pourtant pas mauvaises, bien au contraire. De la fenêtre, je vois en contrebas un amandier en fleurs. Mais rien ne m'incite à mettre un pied dehors. Les fréquentes conversations téléphoniques avec ma mère et BBL, quelques rares échanges de paroles sur Twitter suffisent à me faire oublier l'isolement dans lequel je me suis replié. Je ne me sens pas coupé du monde. D'autant moins que, lorsqu'il ne dort pas, Pat aime bien bavarder de choses et d'autres : de filles, de courses en voiture, de combats de boxes, de grandes évasions, de révolutions. Schnoo est plus réservée, mais se laisse parfois entraîner dans une discussion quand le sujet lui semble suffisamment intéressant, surtout si elle peut se montrer plus avisée, plus perspicace que Pat avec ses jugements souvent taillés à l'emporte-pièce. On passe de bons moments. D'ailleurs, pour éviter que la morosité ne plane sous les plafonds de l'appartement, fréquemment je fais jouer de la musique. Dans l'après-midi, Pat aime être bercé par des balades telle que Cutting board blues des Cowboy Junkies, tandis qu'Alice Austin fait rêver Schnoo avec Mystery. Evidemment en l'absence de BBL, les journées semblent toujours moins lumineuses. Alors, en attendant son retour, je repasse souvent Iko Iko de Long John Baldry, une reprise des Dixie Cups qui annonce le prochain carnaval. Au Mardi gras, l’hiver s’en va et BBL est là !

jeudi 10 février 2011

Rappel musical

J'ai entassé dernièrement pas mal de mp3 sur mon serveur, sans prendre la peine de les mettre ensuite en ligne. Bien que cela ne demande qu'une minute ou deux, je trouve assez fastidieuse la copie et l'adaptation du code html qui permet d'insérer de la musique dans le texte. Pourtant, j'aime bien réécouter quelques mp3 en remontant le fil des mes billets, parce que les sonorités musicales provoquent, avec une assez grande précision, le rappel de l'ambiance dans laquelle j'étais plongé au moment d'écrire. Sur Horizon, grâce au label mp3, je dénombre la publication de 12 morceaux. Il ne me reste plus qu'à inventer un prétexte pour en publier d'autres. C'est à dire qu'il me faut maintenant écrire un texte qui puisse être complété par un morceau de musique. Mais je manque d'inspiration.

Craven A Bis

Une bonne nouvelle : les deux buralistes qui m'avaient affirmés que les paquets de Craven A sans filtre n'étaient plus distribués, m'avaient racontés des craques, probablement dans le but de me vendre quand même des cigarettes, en l’occurrence des Winston. Les Craven sont donc toujours en vente. Mon système nerveux s'en porte d'autant mieux.

mardi 8 février 2011

L'angoisse

1962/63 - L'angoisse - 26/06/63 - Qu'est-ce que le symptôme, c'est la fuite du robinet. Le passage à l'acte c'est l'ouvrir, mais l'ouvrir sans savoir ce qu'on fait. - Quelque chose se produit qui libère une cause - Quant à l'acting-out, (...) ce n'est pas le fait d'ouvrir le robinet, (...) c'est simplement la présence ou non du jet.
Jacques Lacan

mercredi 2 février 2011

Craven A

J'ai fumé, ce matin, la dernière Craven A sans filtre. La Régie des Tabacs ne distribue plus que des cigarettes dotées d'un filtre. J'ai donc choisi de fumer des Winston, une marque que j'achetais régulièrement avant que je ne m'installe définitivement en France, il y longtemps, maintenant. Frank Zappa fumait des Winston. Je viens d'ouvrir le second paquet de la journée. J'ai légèrement mal au crâne. Je regrette déjà les Craven A. Je me sens aussi largué que Jeeter Lester, le patriarche de La route du tabac d'Erskine Caldwell. Pour me consoler, je pense à l'époque où la cigarette ne représentait pas encore le mal absolu pour les hygiénistes hystériques du IIIè millénaire. Je fais jouer Everybody's talking at me de Beautifull South. Cette version est un peu différente de celle de Harry Nilsson, dans Midnigth Cowboy. Pat est d'ailleurs très content d'entendre cette balade. Ce genre de musique évoque pour lui l'atmosphère au cours du long trajet fait entre la Mexique et le Michigan, quand, pour quelques jours seulement, j'avais de nouveau grillé des Winston.

La sieste

Il y a quelques jours, Pat faisait une importante découverte. Il s'est rendu compte que le routeur — matériel pour diriger les données à travers un réseau, soit, dans ce cas, un rectangle de la taille d'un gros livre de cuisine —, dégageait une douce et agréable chaleur. Il me faut dire que Pat a connu des jours difficiles dans sa jeunesse, avant de fuir à jamais sa lointaine Sibérie natale. Depuis qu'il vit ici, sous un climat un peu plus tempéré, Pat aime faire sa sieste dans des conditions qui lui font oublier les affres des épouvantables hivers passés dans la toundra. Pour lui, rien ne vaut un bon radiateur.pat sur le routeurAinsi, le routeur représente le chauffage idéal : un petit sommier en plastique tiède et bien lisse, sur lequel il peut coller son ventre quand, après une bon repas, lui vient l'envie de faire une courte sieste. Mais, pour éviter à Pat que son corps grassouillet ne soit bombardé par une trop grande quantité d'ondes électromagnétiques, je débranche alors délicatement le routeur. Puis, j'attends patiemment que Pat sorte de sa sieste. Quand Pat est de nouveau réveillé, lorsqu'il quitte à regret le douillet sommier électronique, après avoir vingt fois baillé tel le Roi de la savane, je reconnecte mon PC à Internet. Hé oui, je vis au rythme de mes animaux.

jeudi 27 janvier 2011

Sony Reader

J'avais plusieurs fois essayé de la dissuader, persuadé qu'il ne s'agissait là que d'un gadget électronique de plus, mais BBL n'a rien voulu entendre. Il y a une dizaine de jours, elle est rentrée à la maison avec, dans son sac, une boite en carton qu'elle m'a tendue en disant : "Tiens, c'est pour toi." La boite contenait un Sony Reader PRS-650 Touch Edition. Après avoir mis en fonction la petite machine, j'ai aussitôt été conquis. Je n'avais plus qu'à remercier vivement BBL et la féliciter pour cette excellente initiative. Depuis dix jours, mon temps de lecture quotidien a redoublé. Voilà plus d'une semaine que je n'ai pas ouvert de livre en papier. La lecture sur ce reader est aussi agréable à faire que sur un page bien imprimée. J'ai commencé par finir de lire Vingt-quatre heure de la vie d'une femme de Stefan Zweig que j'avais entrepris quelques jours auparavant sur le PC, mais vite abandonnée en raison de la fatigue visuelle procurée par l'écran LCD, comme tout écran rétro-éclairé. J'ai laissé de côté Les fous du roi de Robert Warren Penn entamé entre temps sur un livre de poche et je me suis attaqué, toujours sur le reader, aux Âmes mortes de Nicolas Gogol, un roman que je n'ai pas, à l'heure qu'il est, encore terminé. Hier, j'ai chargé l'oeuvre complète de Camus, tombée dans la domaine public au Canada. Après l'avoir transférée sur le Sony, j'ai lu, dans la nuit, une centaine de pages concernant ses chroniques, pour reprendre, cet après-midi, la lecture captivante et hilarante de Gogol. D'ailleurs, Pat et Schnoo aiment beaucoup que je les tienne au courant des péripéties de Pavel Ivanovitch Tchitchikov, que je leurs lise à voix haute quelques passages de ce merveilleux roman. Et c'est bien ce que je vais de nouveau faire, une fois cette note publiée. Allez, tout le monde grimpe dans la britchka. En route pour de nouvelles aventures et dites merci à BBL !

mercredi 12 janvier 2011

Skyline




The Ballroom Blitz

BBL a raison : je devrais laisser de côté mon PC plus souvent. Elle est contente de me lire en ligne, d'accéder à mes photos ou mes planches digitales, de suivre mes tumblrs ou posterous, pourtant elle pense que je ferai mieux de consacrer plus de temps à la lecture de romans. "Lis essentiellement des romans" me conseille-t-elle. Je suis d'accord avec BBL. D'autant plus d'accord que je me suis lassé des essais. En effet, au cours de ces dernières années, la sociologie, l'anthropologie, la linguistique, la philosophie ont rivalisé pour orchestrer le grand bal de mes neurones. Je réalise aujourd'hui que ma cervelle, qui a trop souvent été à la fête, n'a pas très bonne mine. Il est temps que je prenne la clef des romans pour rouvrir une porte laissée trop longtemps fermée. Il me faut franchir vers la lumière le seuil de la bibliothèque des livres qui ne se lisent qu'un crayon à la main. J'ai besoin d'évasion, de gambader loin des laboratoires, loin des fabriques de la pensée. J'ai ouvert dimanche soir Les Fous du Roi de Robert Penn Warren et repris la lecture de ce somptueux roman, un livre acheté d'occasion chez Gibert peu de temps après mon premier naufrage sur les côtes du Languedoc-Roussillon, il y a trente ans, maintenant. "C’était comme si le temps enduisait de son onguent rafraîchissant la pustule maligne et le prurit de l’âme." me rappelle Robert Penn Warren.

mardi 11 janvier 2011

Cinéma nocturne

Je suis fatigué. Je n'aurais jamais dû raconter à Pat et Schnoo que, dans ma jeunesse, j'allais souvent regarder au cinéma de très mauvais films de karaté, sous-titrés en français, produits à Hong Kong et distribués à bas prix dans des pays comme le bled. Pat et Schnoo ont alors insisté pour que je leur décrive quelques scènes. Je suis un piètre conteur, mais, pour leur faire plaisir, je me suis plié à leur demande. Ils étaient ravis. Seulement, voilà, depuis trois jours, je ne dors plus très bien. Mes nuits sont entrecoupées par les hurlements stridents de Schnoo fouettant l'air de ses quatre pattes, pendant que Pat, dans une course effrénée, saute bruyamment d'un meuble à l'autre, comme un vrai Bruce Lee d'appartement. Mes deux animaux n'ont rien trouvé de mieux que de reproduire les scènes que j'avais dépeintes avec force de détails. Des détails bien souvent inventés, mais qui les avaient, tous deux, fortement impressionnés. Plusieurs fois par nuit, Pat et Schnoo m'obligent à me lever pour mettre fin au simulacre de combats qu'ils ont décidés de jouer, histoire de faire passer plus rapidement le temps, quand ils trouvent que l'heure de la gamelle matinale ne vient pas assez vite. Bien entendu, j'ai parlé de tout ça par téléphone à BBL qui s'est tordue de rire. Ce qu'elle ne sait pas, c'est que Pat et Schnoo ne semblent pas vouloir renoncer de sitôt à leurs petites mises en scènes. Je les soupçonne même de préparer un magnifique scénario en prévision d'une superbe représentation dans la nuit de Jeudi, alors que BBL viendra tout juste de rentrer d'Angers. Mais tout n'est pas perdu : il me reste encore deux jours pour leur raconter l'histoire du Grand Bleu. Ce film est encore plus mauvais que le dernier des films de kung fu sortis des studios de Honk Kong, mais offre un sérieux avantage qui se laisse facilement deviner si Pat et Schnoo se mettaient en tête de le parodier. Blooop... bloooop... bloop...

jeudi 30 décembre 2010

samedi 18 décembre 2010

Aux anges

BBL est rentrée, hier. Depuis, Pat et Schnoo sont aux anges. Les gamelles s'emplissent comme par miracle. Les friandises sont abondantes. Le lit et les canapés semblent encore plus confortables. L'atmosphère du 205 s'est réchauffée de quelques degrés. En fin d'après-midi, au moment où le soleil était sur le point de se coucher, Pat a rapporté à Schnoo quelques paroles de Benoît XVI entendues, un peu plus tôt, sur Radio Vatican : "La présence invisible de ces esprits bienheureux nous est une grande aide, et d'un grand réconfort : ils marchent à côté de nous, ils nous protègent, en toute circonstance, ils nous défendent dans les dangers, et nous pouvons avoir recours à eux à tout moment." Pat tente de convaincre sa petite soeur que BBL est un ange, et Schnoo ne demande qu'à le croire. Tout va bien.

dimanche 12 décembre 2010

Prix Nobel de la Sieste

Depuis que le froid s'est installé, l'appartement a quelque chose du château de la Belle au Bois Dormant. Par bonheur pour Pat et Schnoo, le salon est meublé de deux canapés. Après quelques petites frictions pour savoir qui s'installerait sur celui-ci plutôt que sur celui-là, chacun a trouvé sa place. Depuis, Pat et Schnoo se sont lancés une sorte de défi. Tous les deux concourent dans l'espoir de se voir récompensés par le prestigieux Prix Nobel de la Sieste. Dans une telle ambiance, j'ai beaucoup de difficultés à fournir le moindre effort, ne serait-ce que celui de tenir ce blog à jour, d'autant plus que je n'ai rien d'un graphomane. Rédiger, à la suite, plus d'une dizaine de lignes me donne l'impression d'accomplir un travail titanesque. Quand je pense que BBL est capable, en une journée, d'écrire plus d'une dizaine de pages, et parfois bien plus quand elle déborde de travail, je loue le ciel de me permettre de vivre, en ce moment, au rythme de l'animal qui ne sait rien de notre si belle civilisation à la con. Heureusement pour BBL, l'heure des vacances sonnera en fin de semaine. Pat et Schnoo l'attendent avec impatience, sachant qu'ils auront à leur service un bipède supplémentaire pour répondre, l'ombre d'un désir à peine esquissé, sur le champ. Vivement les vacances !

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