Quand je pense qu'en Mars j'ai posté 26 billets, je n'arrive pas à comprendre comment j'ai pu être aussi prolixe. Depuis, ça ne s'est pas reproduit. Maintenant, un post par semaine me semble être un rythme de publication effréné.

Je ne suis pas vraiment lassé de blogguer, mais comme mon intérêt pour les débats politiques et les questions sociales s'est sérieusement émoussé, je ne me sens pas en phase avec la francosphère qui est assez centrée sur les questions d'actualités.

Pour le moment, je suis en stand-by, scrutant l'horizon des pistes qui convergent vers le milieu du carrefour, sur lequel je me tiens patiemment debout en attendant une nouveau départ. Je suis loin de l'effervescence bloggosphèrique.