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vendredi 19 juin 2015

mardi 16 juin 2015

mercredi 10 juin 2015

jeudi 23 avril 2015

Pat, 5 ans au 205.


Peu avant 06:00 PM, il y a exactement 5 ans, Pat venait se réfugier au 205. Depuis, toujours proches l'un de l'autre, nous avons passé de belles années. Nous sommes très heureux de vivre ensemble.

mercredi 24 septembre 2014

L'été prochain

Pat, le chef de la horde sauvage, qui, presque toutes les nuits, depuis juin, tenait à ce que nous passions ensemble un petit moment sur le balcon, ne veut plus mettre le nez dehors. Quand, il y a 5 mn, j'ai ouvert la porte-fenêtre parce qu'il voulait sortir, il a aussitôt fait demi-tour en constatant que la température ne dépasse pas les 15° C. « Nous sortirons la nuit, sur le balcon, quand l'été sera de retour », m'a-t-il dit, avant d'aller se réfugier sur le lit. J'ai acquiescé. Nous avions l'air de cons sur ce balcon.

dimanche 6 juillet 2014

Le bonheur

J'ai repris, en début d'après-midi, la lecture d'un essai que j'avais laissé de côté pendant pas mal de temps : Les Lignes et les jours, soit les carnets de notes de Peter Sloterdijk, écrits entre 2008­ et 2011. J'ai, entre autres, conservé la citation suivante :
Qu’est-ce que la vie quotidienne, sinon un récit de deuxième classe ? De nouveaux rideaux dans la chambre d’enfant, de nouveaux matelas dans la chambre à coucher, de nouvelles couleurs aux murs de l’entrée, 50 % de remise, c’est ça, le bonheur.
Je pense qu'il ne faut pas lire cet aphorisme sous les couleurs de l'ironie. Je crois qu'on doit en comprendre le sens en le lisant au pied de la lettre. Parce que le bonheur, c'est bien ça et rien d'autre. 50 % de remise, c'est déjà pas mal, et il faut être vraiment naïf pour en attendre plus. Pat n'est pas tout à fait d'accord avec Peter et moi, et me dit qu'on peut, peut-être sur Amazon, en attendre plus à l'occasion d'une vente flash... Pat est un éternel optimiste.

mardi 24 juin 2014

10 000 pas

Objectif quotidien fixé par l’Organisation mondiale de la santé : 10 000 pas par jour, soit 8 km de marche ou une trentaine d’étages à gravir. Une personne inactive effectue moins de 5000 pas par jour. Pat m'a demandé si le fait de marcher sur quatre pattes permettait de doubler le décompte des pas quotidiens. Pour le rassurer, j'ai répondu par l'affirmative, mais je ne suis pas certain de la validité de cette réponse.

samedi 14 juin 2014

En attendant


L'été astronomique ne débutera que le 21, mais, en début d'après-midi, la température est montée à 35° C. Il fait relativement chaud depuis lundi, et nous en avons déjà assez de ce climat pourri. Il va pourtant falloir supporter ça pendant de longues semaines, ainsi que les putains de braillards qui s'excitent, tous les soirs, devant leur écran de TV. Il n'y a vraiment pas de quoi ce réjouir, actuellement. Malgré l'envie de ne plus rien produire, en attendant que cette saison passe, je me suis quand même donné, en fin d'après-midi, la peine de fabriquer une nouvelle planche pour LJNSLPJ : The Letters. Elle est construite grâce au simple assemblage de deux très belles photographies faites par Jack Delano et par Loomis Dean. Rien de plus à écrire, pour cette nuit.

mardi 27 mai 2014

Images


Ce blog manque cruellement d'images. Ne parlons même pas de musique. Il va falloir que je pense à améliorer ça. Ici, à Montmerdier, le soleil s'est couché à 07:14 PM CEST. Comme tous les soirs, les mouettes ont longuement plané en tourbillonnant, à quelques mètres au-dessus de la résidence, lançant leurs cris rauques et stridents. Bien plus haut, les martinets sillonnaient le ciel. C'est à cette heure-ci que le pigeon mâle et venu rejoindre sa femelle qui couve deux œufs dans le cagibi, au fond du balcon. Pat et moi, nous avons alors pris un peu l'air, observé les volatiles tout en parlant de choses et d'autres. Il m'a demandé où j'en étais de ma lecture du Festin nu de W. S. Burroughs. Je n'en suis qu'à la moitié. Mais, je n'ai pas pu résumer l'histoire pour Pat, parce que c'est infaisable. Ce roman est composé comme un collage de scènes plus délirantes les unes que les autres. Mais, le texte est captivant. Un vrai poème. Je publierai peut-être quelques passages sur Me Quem Luna Solet Deducere quand j'en aurai le temps. Les jours passent très vite. My year is a day.

mercredi 23 avril 2014

Quatre ans


C'était un vendredi, il y a exactement quatre ans, Pat venait se réfugier au 205. Cela faisait déjà un peu plus d'un an que nous nous connaissions. Pat et moi, nous avons passé la journée à parler du bon vieux temps. Schnoo et Saki ont largement participé à cette longue et agréable conversation. Nous sommes la bande des quatre. Absolument inséparables.

lundi 10 février 2014

Schwartz


Ceci est un épisode qui concerne l'histoire de Schwartz, ce bel animal, aux yeux vert* émeraude, au pelage tout noir, qui court en liberté dans le parc de la résidence depuis l'automne — il est probablement né l'été dernier ou à la fin du printemps. Je l'avais fait entrer, une nuit de novembre, dans l'appartement, lorsqu'il était venu gratter à la porte. Malheureusement, il n'avait pas apprécié la présence de mes trois fidèles compagnons à qui il avait cherché des noises. Aussi, je nourrissais ce petit sauvage uniquement dans le parc, quand nous nous rencontrions de temps en temps. Mais, en début d'année, Schwartz avait découvert la possibilité d'accéder d'une autre manière au 4e étage : il se faufilait sur les échafaudages, appuyés depuis des semaines contre la façade de l'immeuble, pour grimper sur le balcon. Le moyen idéal pour se faire servir quotidiennement deux boîtes de pâté et une gamelle de croquettes. Au coucher du soleil, dès que les peintres quittaient les lieux, Schwartz montait jusqu'au balcon pour miauler sous les fenêtres, au grand dam de Pat et Saki, les deux mâles de la maison. Schnoo, la femelle, n'y prêtait guère attention. Schwartz avait appris à monter et, surtout, à descendre par les échelles. Et puis, dernièrement, les ouvriers, qui travaillent aux ravalements des bâtiments de la résidence, ont déplacé les échafaudages sur la gauche de la façade, à plus d'un mètre de la rambarde de notre balcon. J'ai cru alors que le petit diable noir serait privé du service de restauration rapide, sorte de drive-in situé à quelques dizaines de mètres en hauteur. Mais, non ! Schwartz n'a mis longtemps à retrouver son chemin et n'a pas non plus hésité à franchir d'un bond la distance entre les échafaudages et le balcon. Évidemment, j'ai fait plein de photos qui montrent Schwartz en train de grimper sur les échafaudages, de courir sur le balcon, ou bien en train de manger dans la cuisine — seule pièce à laquelle je lui laissais un accès. Mais aussi, des images de Schwartz en train de se disputer — régulièrement — avec Saki, les deux se traitant de tous les noms, chacun séparé uniquement par les vitres des fenêtres qui donnent sur le balcon. De son côté, Pat se contentait de suivre attentivement les altercations, parce que son flegme à toute épreuve l'empêchait de participer au jeu des menaces et des démonstrations de force. C'est ainsi que j'ai publié en ligne de nombreuses photographies que seule BBL a le loisir de regarder, car elle est la seule à avoir l'autorisation de consulter le blog sur lequel s'affichent ces images. Pourtant, et c'est là que je voulais en venir, je n'ai pas résisté à rendre publique, sur La lumière incertaine du souvenir, deux images de Schwartz. Mais, auparavant, on peut le voir, le 15 novembre, sur Mikkado. Depuis vendredi soir, ce petit sauvage au pelage noir n'est pas remonté au quatrième. J'ai supposé que les ouvriers avaient déplacé les échelles et qu'il en manquait peut-être une. Pat et Saki lui ont fait signe du haut du balcon. Voilà pour l'épisode rendu public de l'histoire de Schwartz. Les lecteurs d'Horizon savent dorénavant que, mes animaux et moi, nous formons désormais un gang de cinq. Les lecteurs feront bien de ne pas l'oublier.

*Vert associé à émeraude est invariable

dimanche 1 décembre 2013

Challenge

En fin d'après-midi, m'est venue l'idée de publier un maximum de billets sur Horizon, tout au long de ce mois de décembre, afin de tenter de battre le record de publications mensuelles établi en juin dernier, et, de surcroît, dépasser ainsi la barre des 200 billets annuels, ce qui serait d'un certain point de vue assez remarquable. Pourtant, j'hésite à me lancer dans ce type de performances, parce que ça ressemble trop à cette idée à la con qui hante ces bourrins de coaches, et qui voudrait qu'on doive se dépasser pour exister, relever des challenges, mener sa vie comme une entreprise cotée en bourse. C'est le truc le plus stupide que l'on puisse faire, sans parler de la déplorable mentalité qui est le lot des crétins qui s'aventurent dans un projet pareil. D'un autre côté, je sais que ce type de contraintes pousse à se sortir d'un certain confort et oblige à réduire le taux naturel, inné, presque irréductible de laisser-aller qui est l'une des caractéristiques saillantes de ma conduite sur les chemins tortueux, non balisés et faiblement tracés de mon existence. Le perfectionnement de son esprit, comme le dirait Baudelaire, n'est pas la pire des choses à envisager, surtout pour un type comme moi qui n'a rien d'autre de mieux à faire, en dehors de veiller sur le bien-être de ses animaux. J'hésite encore parce que je ne suis pas gouverné par des pulsions masochistes telles que les décrit Freud dans son époustouflant portrait de Dovstoïevski — je suis en train de le lire —, bien au contraire. Écrire peut, pour moi, s'avérer parfois comme une véritable torture et je veux éviter de me touver dans une situation pareille. Aussi, je vais prendre conseil auprès de mes animaux, en discuter longuement avec eux, peser le pour et le contre — comme le fait si bien Pat quand il s'agit de choisir la meilleure manière d'entamer sa sieste — avant de déclarer qu'en ce mois de décembre, on pourra lire sur Horizon plus de 30 billets. Rien ne presse, ne nous emballons pas. Réfléchissons encore.

samedi 30 novembre 2013

What's Wrong With Me

J'avais presque cessé d'écouter de la musique, ou plutôt, je pouvais passer toute une journée sans faire jouer un morceau. Lors de son dernier séjour parmi nous, au début du mois, BBL m'a demandé, un matin, si j'étais toujours abonné à Daytrottrer. J'avais presque oublié l'existence de ce site. Je m'y suis donc reconnecté, mon abonnement courait toujours. J'ai alors chargé quelques albums pour BBL. Elle s'en allait le lendemain. Depuis son départ, j'ai repris l'habitude de passer, quotidiennement, plusieurs heures — souvent le casque rivé sur les oreilles — à (re)découvrir les milliers de mp3 téléchargés au fil des ans. Ce soir, Schnoo me demande de faire jouer l'un de ses morceaux préférés What's Wrong With Me, de Hurray For The Riff Raff, qu'elle dédicace à Pat. Dans moins d'une demie-heure, la page Novembre 2013 sera définitivement tournée. Ainsi va la vie.

vendredi 22 novembre 2013

Schnoo


Ce soir, nous célébrons, en toute intimité, le 3e anniversaire de l'arrivée de Schnoo au 205. Trois belles années vécues dans la sérénité, si l'on excepte les petits accrochages, relativement rares, avec Pat et Saki, au sujet des limites territoriales quelques fois transgressées. Trois belles années, malgré tout. Schnoo se prépare pour le bal. Elle dansera toute la nuit. Saki est en train de choisir la musique Come on Baby, turn around!

samedi 2 novembre 2013

Pasa la vida



BBL était redescendue à Montmerdier samedi dernier. Elle est repartie dans l'après-midi. Nous n'avons passé que très peu de temps ensemble, puisque, le lendemain de son arrivée, dans la matinée, je quittai Montmerdier et prenais l'autoroute en direction du Pays Basque. Je n'en suis revenu qu'hier. BBL aura donc vécu une semaine en compagnie de nos animaux. Ce soir, les animaux sont tristes de ne plus avoir BBL à leurs côtés. Pasa la vida.

Y pasa la vida, igual que pasa la corriente cuando el río busca el mar y yo camino indiferente, donde me quieran llevar.

mercredi 14 août 2013

Saki, 2e anniversaire


Nous avons fêté le 2e anniversaire de l'arrivée de Saki au 205. Sentimentalement, c'est certainement, pour moi, le plus bel événement de ces dernières années, auquel s'ajoute, précédemment, l'arrivée de Pat, puis celle de Schnoo. Je pensais avoir rédigé un billet célébrant le premier anniversaire de cet événement, mais, en août 2012, je n'ai rien écrit à ce sujet, sur Horizon. Je me rends compte que je m'étais contenté d'en parler sur un blog inaccessible au public, que seule BBL et mes animaux peuvent lire. Saki est un animal heureux d'avoir survécu. Il sait parfaitement transmettre sa joie de vivre. C'est un petit Dieu. Longue vie à Saki !

samedi 29 juin 2013

Tour du quartier

Sur les conseils de mon vieil ami Charlie, qui m'a fait récemment remarquer que je ne marchais pas assez, hier, je suis parti, à pieds, faire le tour du quartier. L'idée de prendre quelques photographies, tout au long du parcours, n'est pas étrangère à la mise en action d'une telle expédition. Sans mon Nikon, je n'aurais probablement pas bougé de chez moi. Si je me déplace, c'est parce que j'ai un but, sinon, je ne gaspille pas de forces inutilement. Pat et moi, nous partageons un point de vue identique sur les économies de mouvements : n'user son corps que par nécessité, pour une finalité a priori bien établie. Pour nous, le sommet de l'horreur, c'est le sport. Passe encore l'idée absurde d'écrire, sur un blog, 30 billets dans le mois : performance idiote, mais relativement anodine sur le plan de l'effort corporel. Alors que courir après un ballon, faire un marathon, soulever des altères, grimper une falaise... représentent autant de choses hideuses, repoussantes qui, par simple évocation, peuvent nous rendre malade. Donc, hier, j'ai marché sur un parcours en boucle — plutôt mourir que de revenir sur mes pas — de 4 ou 5 kilomètres, environ. Ce n'est pas demain que ça se reproduira. A marquer d'une pierre blanche sur Horizon.

lundi 24 juin 2013

Journalisme

J'ai dormi une bonne partie de la journée. C'était absolument nécessaire. Je manquais de sommeil. Je me couche tard, alors que Pat, le roi des mes animaux, me sort du lit quand le soleil se lève. Parfois, encore plus tôt. Je n'ai pas totalement comblé ce manque, mais ça va mieux. Je ne pique pas du nez sur le clavier du PC, comme c'est trop souvent le cas à cette heure-ci. Le quadrupède humain estudiantin, ce spécimen particulièrement stupide, qui peuple pour une grande part la ville de Montmerdier, au cours de l'année, a déserté la cité : il est rentré chez papa/maman, peut-être même chez papa/papa ou maman/maman — allez savoir ! En tout cas, Montmerdier est bien plus tranquille qu'à l'accoutumée et la circulation automobile bien plus fluide. C'est le grand avantage de l'été, ici, au Nord cette maudite ville. On peut certainement considérer ce billet comme un marronnier, car — je n'ai pas vérifié — je ne serais pas étonné de découvrir, sur Horizon, des textes disant sensiblement la même chose, en cette période, au cours des quatre années précédentes. Je suis maintenant au niveau du bon journaliste.

jeudi 30 mai 2013

Rien ne vaut le café

Je me suis allongé sur le lit, dans la chambre, après avoir ingurgité, vers 02:30 PM, une pizza au fromage et un morceau de pâte d'amandes en guise de dessert, tout en buvant du café au lait. Pat s'est installé sur ma poitrine, Schnoo s'est sagement endormie sur un oreiller, et Saki sur le linge propre laissé en tas, depuis deux ou trois jours, sur le bureau. J'ai allumé le Sony Reader pour lire la suite de la longue préface, entamée hier dans la nuit, écrite par Howard Cunnell pour l'édition de Sur la route, publiée assez récemment dans sa première version, celle qui a été dactylographiée sur un rouleau. Une préface qui remet radicalement en cause toutes les légendes qui courent sur Jack Kerouac et ce roman. J'ai relevé une phrase directement en rapport avec l'un de mes derniers billets sur Horizon : Performance. Un billet qui évoque une conversation téléphonique avec BBL au cours de laquelle je déplore ma faible productivité au regard de l'écrit, conséquence d'une existence vécue sans absorption de stimulants chimiques puissants. Mais, sur ce point, le passage, relevé dans la préface de Sur la route, m'a rassuré : « Quant à la légende qui veut que Kerouac ait carburé à la benzédrine, voici ce que l’auteur confie à [l'un de ses amis] Cassady : "J’ai écrit ce livre sous l’emprise du CAFÉ, rappelle-toi mon principe : ni benzédrine, ni herbe, rien ne vaut le café pour doper le mental." » Si Kerouac procède comme ça, alors rien n'est perdu pour moi, et Horizon a donc encore de beaux jours devant lui. Je vais me refaire un café.

mardi 28 mai 2013

Solstice d'été

Je n'ai pas réussi à convaincre Pat de l'inutilité de me réveiller au moment où le soleil se lève. J'ai beau lui expliquer que je n'ai pas l'intention de devenir propriétaire de l'Avenir, Pat reste persuadé qu'il faut que je me lève tôt, et fait de son mieux pour me sortir du lit. Aussi, je suis pressé de voir arriver le 21 juin, date à partir de laquelle les jours vont commencer à diminuer, le soleil à se lever de plus en plus tard. Vivement le solstice d'été qui débutera, cette année, le 21 juin à 05:03:57 AM UTC !

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