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lundi 8 septembre 2014

Psychopathe

La pleine lune, qui favorise le manque de sommeil, les conditions climatiques — Temperature: 25°C | Humidity: 82% | Pressure: 1015hPa (Falling) | Conditions: Mostly Cloudy | Wind Direction: SSE | Wind Speed: 24km/h —, absolument merdiques, identiques à celles du mois d'août, font de moi un véritable psychopathe, prêt à mettre le feu au monde entier. Heureusement, je ne suis dans cet état que depuis hier et, d'ici deux ou trois jours, mon humeur aura retrouvé la bonhomie qui, habituellement, me caractérise. Ce n'est qu'une toute petite question de patience.

samedi 14 juin 2014

Prisonniers

Je maudis le jour où j'ai échoué, ici, à Montmerdier. J'ai eu, par la suite, deux ou trois fois l'occasion de renflouer mon embarcation afin de m'arracher de cet enfer, mais chaque fois l'opération s'est soldée par un échec. Je suis donc resté planté dans cette région marécageuse à l'atmosphère pestilentielle. Je suis maintenant trop vieux, trop pauvre et pas suffisamment stupide pour espérer, un jour, me barrer d'ici. Sachez que je ne joue jamais au Loto. C'est absolument inutile, je ne peux rien y gagner. Si j'étais verni, cela se saurait : il y a longtemps que je n'habiterais plus dans le coin. Je suis condamné à finir mes jours, ainsi que mes animaux — notre sort est lié —, dans cette ville de merde. Je ne pense pas qu'il puisse y avoir de villes vraiment plus vivables que Montmerdier, mais, je sais, pour avoir vécu quelques temps ailleurs, en France, qu'il existe des endroits où les gens sont un peu moins cons que dans le sud-est de ce pays. Non, l'ensoleillement ne fait pas tout, contrairement, à ce que prétend la doxa. Le soleil ravage encore plus rapidement les cervelles rabougries des buveurs de pastis amateurs de football, de beach-volley et de soirées entre copaings. Rien ne changera dans cet environnement, et si, par hasard quelque chose était amenée à changer, cela ne pourrait qu'être pire. Comme nous ne pouvons, mes animaux et moi, nous tirer de ce merdier, pas plus que nous y adapter, il nous faut, au jour le jour, inventer des solutions qui nous permettent de subsister tant bien que mal. Nous discutons très souvent de cette situation. Nous savons en permanence où nous positionner, comment nous comporter pour faire face à ce bordel quotidien. Nous nous soutenons mutuellement. De ce côté, aucun problème. Ce sont d'ailleurs mes animaux qui m'incitent à parler publiquement de çà, à ne pas tenter de nier l'existence des barreaux de la cage qui nous retient prisonniers. Nous imaginons parfaitement que le public ne veut rien connaître de pareilles histoires. Mais nous savons que nous ne devons pas rester muets, ce qui nous mettrait psychologiquement en danger. Mes animaux, fins connaisseurs des âmes en tout genre, me poussent donc à décrire et publier nos états d'humeur sur Horizon, ce que je viens de faire, ce soir encore... Avec un peu plus de mots qu'habituellement, certes.

dimanche 30 mars 2014

Étrange satisfaction

Après avoir publié un billet sur Horizon, invariablement, j'éprouve une étrange satisfaction. Étrange, parce que démesurée au regard de la taille — un millier de signes — et de la qualité — ordinaire — du texte que je viens de rédiger. Ce sentiment trouve peut-être sa source dans l'impression d'avoir publiquement extériorisé une idée, une opinion, aussi banales soient-elles. Mais encore, étrange, parce que ce ne sont que les publications sur Horizon, et non sur l'ensemble de mes blogs, qui me procurent cette sensation. En y réfléchissant, je suis tenté de penser que c'est l'emploi immodéré d'un grand nombre de pronoms personnels, écrits à la première personne du singulier, qui engendre le plaisir inhérent à ces publications. Je, je, je... J'existe ! Absolument pathétique. Une sieste avec mes animaux s'impose. Ils savent parfaitement calmer mes émotions.

samedi 15 mars 2014

Créativité

D'après les cognitivistes — entendez par là une certaine catégorie de psychologues —, l'animal humain se montre créatif soit tôt le matin, soit tard dans la soirée. Par créativité, cette variété de psychologues parle de ce que peuvent mettre en oeuvre les artistes, les scientifiques, les philosophes, les entrepreneurs, les architectes, etc., toutes ces espèces qui forment la surface lisse, brillante et gratinée de l'humanité. Donc, tout le monde n'est pas créatif, mais, de surcroît, pour le devenir il faut choisir son heure. Le problème, c'est que je ne nage pas dans le gratin et que mon horloge interne a, depuis longtemps déjà, rendu l'âme. Pourtant, je suis en mesure de produire un billet, tel que celui-ci — reflet d'une indéniable créativité —, en début d'après-midi. Je suis l'exception qui confirme la théorie des cognitivistes. Ils vont m'adorer.

mercredi 1 janvier 2014

Construction / Déconstruction

Écrire en gardant à l'esprit que quelqu'un lira peut-être le texte que l'on est en train de rédiger, influence fortement le contenu et la manière de le présenter. Pour la photographie, c'est pareil. Depuis quelques jours, ma connexion ADSL est particulièrement instable, ce qui fait que je peux rester, plusieurs heures durant, sans avoir accès au Net. Aussi, je pense sérieusement me débarrasser du fil qui me relie au Web, c'est-à-dire résilier le contrat passé avec Alice, sans envisager de prendre un nouvel abonnement chez un autre provider. Ce qui me retient un peu d'en arriver là, c'est de penser que je n'écrirai plus avec l'idée de publier et je ne photographierai plus, non plus, dans cette optique. Pour ces deux activités, qui occupent presque quotidiennement une bonne part de mon temps, je peux alors prévoir, dans cette éventualité, des changements assez radicaux et surtout une forte baisse quant à ma productivité. En poussant le raisonnement un peu plus loin, je peux imaginer que mon état psychologique en viendrait à être légèrement modifié, car communiquer sur le Web, c'est aussi, et peut-être avant tout, construire une image de soi. Or, cette construction édifiée sur la Toile a commencé, pour moi, il y a maintenant une quinzaine d'années. C'est aujourd'hui quelque chose de tellement ancré dans ma routine existentielle que je me demande comment, si je décidais me couper définitivement d'Internet, je vivrais l'abandon de cette lente et interminable construction. C'est peut-être une expérience à réaliser. Reste aussi à savoir si je laisserais des traces de ce chantier, qui au fil du temps a pris de vastes proportions, où si je m'arrangerais pour faire en sorte qu'il n'en restera pas une seule ruine discernable sur le Web. Je vais en parler à mes animaux.

lundi 24 juin 2013

Intuition

Il y a deux ans, jour pour jour, j'ouvrais Immatriculation, sur Blogger, avec une citation de Bronislaw Malinowski au sujet de la kula. L'année suivante, j'ai fusionné ce blog avec Soustractions, sur lequel j'ai posté, dans l'après-midi, un court article sur L'intuition du joueur d'échecs. Saki, le plus jeune de mes animaux, qui suit, en ce moment, sur l'écran, ce que je suis en train d'écrire, me demande de lui lire, plus tard, d'autres articles sur l'intuition, car il sait que c'est le thème du dernier numéro de Sciences Humaines qui vient de paraître en ligne. Saki me dit que ses intuitions ne l'ont jamais trompé et il voudrait savoir ce qu'il en est chez le quadrupède humain, cet animal soit-disant doué de raison. C'est ce que je ferai, une fois ce billet publié. J'entends déjà Saki doucement ricaner.

jeudi 21 février 2013

Toile cirée

Ceci est le 400e des billets publiés sur Horizon. Horizon qui est en perte de vitesse, comme le reste de mes publications en ce moment. En début de semaine, l'hiver a tiré sa révérence. Le printemps est en train de s'installer. Tous les psychologues, particulièrement les cognitivistes, vous le diront : la fin de l'hiver est propice aux dépressions. Ce qui se traduit, pour ma part, en une sorte de manque d'élan vital. Je n'ai rien envie de faire, sinon de longues siestes en compagnie de mes animaux. Je me suis contenté de recycler quelques vieilles photos pour les éditer ensuite sur GTK 751. Mais, peut-être que cette histoire de changement de saison n'est, pour moi, qu'un prétexte pour expliquer le ralentissement de mes activités sur le Web. En réalité, voilà déjà quelques semaines que la fréquentation de la Toile me semble être d'un ennui mortel. J'ai l'impression d'en avoir fait le tour et que tout se répète indéfiniment avec très peu de variantes, tout ressemble à tout. La Toile porte bien son nom, surtout si on le rapporte à l'idée de toile cirée : une surface plane et lisse, donc totalement dépourvue de relief. Un univers morne, principalement dans sa partie francophone. Il est temps que je prenne de sérieuses distances avec ce monde dit virtuel qui n'est en réalité que le prolongement, l'annexe de l'espace social ordinaire et qui ne représente rien de plus intéressant. Il devrait donc être facile de l'ignorer, d'autant plus facile qu'il suffit de ne pas établir de connexion. Je vais donc faire en sorte de ne plus me laisser aller à surfer sans raison sur le Web, et surtout, à ne pas perdre mon temps en naviguant sur tout ce qui ressemble à un réseau social, ces sites qui concentrent les aspects les plus misérables de l'humanité en rassemblant tout ce qui dégouline et s'étale en fluides visqueux et répugnants sur la Toile. Je dois changer ma vie, ma vie d'internaute.

lundi 3 décembre 2012

Le dépassement


2012 touche presque à sa fin. J'hésite à me conformer aux exhortations de mon Surmoi, qui incite mon Moi au dépassement de Soi — très en vogue en ces temps de consciences troublées — en lui répétant régulièrement qu'il suffit juste de casser les barrières, que tout est possible. Mon Surmoi, contaminé par les débilités du Coaching, incontournable religion quand on fréquente le Web, veut me faire rédiger une centaine de billets afin de publier, avant la fin de l'année, plus que je ne l'ai fait en 2009. Depuis hier, mon Moi essaye de faire entendre à mon Surmoi qu'il me suffirait d'écrire une dizaine de billets, au cours de ces quatre prochaines semaines, pour dépasser le nombre de publications faites en 2010, et qu'ainsi, le fameux dépassement de Soi serait réalisé. Mon Moi tente de rappeler à mon Surmoi qu'il a pour tâche d’éviter les débordements impulsifs de mon Ça. Mon moi soupçonne ce dernier de tenter de corrompre l'intégrité de mon Surmoi en le poussant à lire en ligne Closer, Public, Gala, Psychologie Magazine et même Le Nouvel Observateur. Je suis donc pris, depuis hier, dans ce conflit, alors que ce que j'aimerais vraiment dépasser, c'est le nombre d'heures de sommeil beaucoup trop limitées ces derniers jours. Ce déficit me pousse à écrire n'importe quoi, incapable de mettre en oeuvre un billet qui ferait réellement sens sur Horizon.

mardi 27 novembre 2012

Tranches de Verbe

Il est temps de me payer une petite tranche de Verbe. Je peux le faire sans arrière pensée, sans crainte pour ma santé, parce qu'il est peu probable que, contrairement à certains bloggers, le Verbe puisse me rende obèse. Je suis assez content de moi, car, ces derniers jours, je n'ai pratiquement pas perdu mon temps en traînant sur les réseaux sociaux, ou plus exactement sur Google Plus, puisque c'est désormais le seul réseau que je fréquente. Dans le registre de mes fréquentations, je pourrais aussi prendre en compte Flickr, mais je ne le ferai pas parce qu'il y a bien longtemps que je n'entretiens plus aucune relation avec les membres de cette plate-forme. Je me contente d'y stocker quelques photos : une façon supplémentaire de les sauvegarder. Ces derniers jours, j'ai surtout passé du temps à lire après avoir copié plusieurs articles sur Cairn que j'ai transformés en epub pour les transférer sur mon e-reader. Le week-end s'est donc déroulé sous le signe de la lecture avec :
  • Penser l’ouverture au monde... et la participation sociale des sujets « en situation de handicap psychique »
  • La métaphore et le linguiste Giono, « un rêveur des montagnes »
  • Musil et Emerson : les mots que nous citons
  • L’Homme sans qualités et le « dixième caractère » : Musil lecteur d’Emerson
  • La description expérimentale chez Balzac et Musil
  • Eléments d’analyse : l’autobiographie de Michel Leiris
  • L’extase déchiffrée
Bien entendu, pour le bonheur de mes animaux, j'ai lu à haute voix quelques passages de ces articles. Ils ont été particulièrement attentifs à la lecture de « Penser l’ouverture au monde... » qu'ils m'ont d'ailleurs demandé de lire d'un bout à l'autre. Cet article les a littéralement emballés. Aussi, Pat, qui prenait des notes pendant que je lisais, m'a dit qu'il ne tarderait pas à écrire un mail à l'auteure afin de la féliciter pour son excellent travail. Ainsi, le week-end s'est très bien passé. Mes animaux et moi, nous avons eu matière à d'intéressantes discussions. Bien plus intéressantes que les maigres échanges de commentaires sur les réseaux sociaux. Hier et aujourd'hui, nous sommes restés silencieux, préférant méditer sur tout ce que nous avions pu tirer des ces articles et de nos conversations. Ce soir, j'ai utilisé Pixia pour faire deux nouvelles planches que j'ai ensuite publiées sur Semaine. BBL a donné son cours hebdomadaire dans l'après-midi. Mais ensuite, elle n'a pas trouvé la force de travailler à son projet de recherche. Elle est rentrée fatiguée. Elle a hâte de nous rejoindre pour participer à nos élucubrations, et de se payer, en notre compagnie, quelques petites tranches de Verbe. Vivement les vacances !

jeudi 22 mars 2012

Inquiétant printemps

Je viens de modifier le design d'Horizon. C'est la seconde fois que je me livre à une modification de ce blog, mis en ligne le 1er févier 2009, il y a donc plus de trois ans, maintenant. Lundi dernier, à 05:14 AM UTC, l’hémisphère Nord est entrée dans la période du printemps. Mais, à l'heure qu'il est, les Français n'en ont certainement pas encore pris conscience, puisque, depuis le début de cette semaine, ils sont incroyablement obnubilés, fascinés par un fait divers qui occulte toute autre information et relègue aux oubliettes n'importe quel autre événement. Je suis sidéré par l'ampleur qu'à pu prendre ce phénomène produit par les médias, exploité jusqu'à la corde par les politiciens. J'ai du mal à réaliser que des millions d'individus puissent, si rapidement, se faire laver la cervelle, se laisser manipuler à ce point sur la base d'un fait divers aussi banal. C'est ça qui me semble véritablement effrayant. Cette civilisation sur le déclin engendre des mouvements de foule, de profonds remous vraiment inquiétants. Mes animaux et moi, nous en perdons le sommeil.

dimanche 11 décembre 2011

Pat la Montagne

Les jours passent et se ressemblent. Il n'y a rien qui ressemble plus à un dimanche qu'un autre dimanche. Ce soir, c'est Pat qui a pris le relais de Saki : il pousse de petits cris de guerre en parcourant l'appartement. Ce qui est assez inhabituel, puisque Pat est plutôt du genre pacifique. Pacifique n'est peut-être pas le bon mot, car Schnoo et Saki ne le perçoivent pas sous les traits d'un sâdhu ayant fait allégeance à Shiva ou Vishnou. Pat a une personnalité assez autoritaire, heureusement, il n'a rien d'un incurable hippie, mais des traits de caractère qui le rapprocheraient un peu de la figure du Père de la Horde sauvage. Mais pas tout à fait quand même, car, ayant lu récemment Totem et Tabou, Pat craint maintenant de finir sous forme de tajine cuisiné par Saki et Schnoo. Il n'empêche qu'il aime qu'on le traite avec déférence, une notion que Saki n'a pas encore parfaitement assimilée. Ce qui fait que Pat maîtrise, du mieux qu'il le peut, ses émotions et ne se laisse aller que très rarement à des manifestations qui remettraient en cause l'image du Sage de la Montagne qu'il s'est patiemment forgé, peu de temps après l'arrivée de Saki, une image qu'il tient à conserver. D'où mon étonnement en remarquant que, ce soir, Pat se comportait un peu comme Saki, lorsque ce dernier annonce son départ en campagne, prêt à raser l'appartement, histoire de passer un bon moment tout en laissant libre cours à son vent de folie passagère. Mais Pat s'est rapidement repris. Le temps de rédiger ce billet, il avait retrouvé ses airs de majesté. Pat est la Montagne qui ne bouge jamais.

samedi 30 avril 2011

Procrastination

Il m'a fallu réfléchir deux secondes pour savoir si le 30 avril était bien le dernier jour du mois. C'est bien le cas : il n'y aura pas de 31ème jour. Généralement, je sauvegarde en chaque fin de mois, sur un HDD externe, les dossiers que j'estime importants, ceux que j'aimerais conserver au cas où le disque dur du PC sur lequel je travaille viendrait à casser. Heureusement, c'est une opération qui ne prend pas beaucoup de temps, puisqu'au cours du mois je trie et classe régulièrement mes fichiers. Mais, comme pour toute opération technique et routinière, je recule devant la tache, la reporte à l'heure suivante. Au point de préférer en parler par écrit plutôt que de l'exécuter. Alors que ça me demanderait moins de temps que de rédiger ce billet. La procrastination est un handicap psychique à considérer avec une sérieuse inquiétude et beaucoup de compassion pour ceux qui en souffrent !

mardi 26 avril 2011

Sur ses gardes

Prendre Schnoo en photo n'a rien d'une opération facile à réaliser. Quand elle ne dort pas, Schnoo est toujours en mouvement. La vue d'une caméra, étrange objet pour elle, la rend fébrile. Par curiosité, elle se précipite invariablement vers l'objectif, rendant la mise au point particulièrement difficile. Comme le déclenchement se fait avec beaucoup de retard sur le vieux Coolpix 4500, Schnoo est hors cadre, la plupart du temps. Heureusement, Nikon, sur ses derniers modèles, a bien amélioré la vitesse de réaction du déclencheur : la prise d'une image est quasi instantanée avec le Coolpix S 8000. C'est cette caméra que j'ai utilisée, avant-hier, pour faire le portrait de Schnoo.Alors, qu'en quelques années, j'ai fait de nombreuses photos de mon petit animal, c'est sûrement cette image qui me parait la plus satisfaisante. Cette photo reflète les moments d'inquiétude dans lesquels Schnoo se trouve souvent plongée, avec le souci presque permanent de pouvoir rapidement détaller vers un abri quand quelque chose d'indéfinissable se produit dans son environnement immédiat. Même si, depuis qu'elle a trouvé refuge au 205, la vie est bien plus facile pour elle, Schnoo n'a pas complètement perdu ses vieux réflexes : elle est souvent sur ses gardes.

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