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mardi 27 mai 2014
Images
Ce blog manque cruellement d'images. Ne parlons même pas de musique. Il va falloir que je pense à améliorer ça. Ici, à Montmerdier, le soleil s'est couché à 07:14 PM CEST. Comme tous les soirs, les mouettes ont longuement plané en tourbillonnant, à quelques mètres au-dessus de la résidence, lançant leurs cris rauques et stridents. Bien plus haut, les martinets sillonnaient le ciel. C'est à cette heure-ci que le pigeon mâle et venu rejoindre sa femelle qui couve deux œufs dans le cagibi, au fond du balcon. Pat et moi, nous avons alors pris un peu l'air, observé les volatiles tout en parlant de choses et d'autres. Il m'a demandé où j'en étais de ma lecture du Festin nu de W. S. Burroughs. Je n'en suis qu'à la moitié. Mais, je n'ai pas pu résumer l'histoire pour Pat, parce que c'est infaisable. Ce roman est composé comme un collage de scènes plus délirantes les unes que les autres. Mais, le texte est captivant. Un vrai poème. Je publierai peut-être quelques passages sur Me Quem Luna Solet Deducere quand j'en aurai le temps. Les jours passent très vite. My year is a day.
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10:14:00 PM
mardi 25 mars 2014
Insignifiant verbiage
Debout depuis 07:00 AM, je n'ai presque pas quitté des yeux l'écran du PC de toute la journée, alors que je sens venir la nuit avec la désagréable impression qu'aujourd'hui j'aurais parfaitement perdu mon temps. Cette sensation n'a rien d'extraordinaire, elle se répète assez fréquemment. Mais, ce soir, elle mobilise ma conscience au point d'en arriver à être écœuré par ce comportement stupide. J'en viens à regretter la période où les pannes de connexion ADSL m'obligeaient à utiliser le PC de façon différente, bien plus intelligemment. C'est surtout le fait d'avoir relancé un compte Twitter qui me pousse à perdre inutilement mon temps. Il n'y a rien de pire que les réseaux sociaux pour s'égarer, être désorienté et se mettre à marcher au milieu d'un troupeau de quadrupèdes humains qui filent droit vers l'abattoir. Je me demande ce qui me pousse à suivre, en ligne, cet incessant et si insignifiant verbiage. Le pire, c'est qu'il m'arrive d'y participer, alors que j'ai bien mieux à faire, ne serait-ce qu'une sieste en compagnie de mes animaux, loin d'être "bêtes" comme on le prétend.
at
7:27:00 PM
jeudi 13 mars 2014
Une goutte d'eau
Je ne me rappelais pas avoir rédigé ce qui suit : « Je crois que j'écris pour voir les heures se matérialiser. Comme écrire est quelque chose qui se fait de manière linéaire, chaque mot est le reflet d'un instant. Aussi écrire, c'est, pour moi, regarder couler le temps, le suivre des yeux, comme on regarde une goutte d'eau glisser le long d'une vitre, un jour de pluie. » Ça date du 20 mars 2009. Je me dis que, 5 années plus tard, mon état d'esprit vis-à-vis de mes écrits n'a pas changé. Depuis, les gouttes d'eau se sont tout simplement transformées en une étroite et sinueuse rigole.
at
6:38:00 PM
mercredi 26 février 2014
Entre Dos Aguas
Il est souvent près de minuit quand je pense à écrire un billet pour Horizon. Ce qui fait que, d’ordinaire, je renonce rapidement à cette idée, car je n'ai plus l'énergie nécessaire pour entreprendre une tâche qui me demande généralement beaucoup d'efforts. Aujourd'hui, je n'attendrai pas la nuit pour penser à écrire parce que je veux être sûr de laisser, ici, un repère chronologique en inscrivant une information entendue sur France Culture, à midi et demi : la mort de Paco de Lucia, hier à Cancún. Par le passé, la musique de Francisco Sánchez Gómez, de son vrai nom, m'a très souvent tenu compagnie. C'est aussi la seconde fois que je m'attriste sur le décès de FSG, car, par erreur, ma mère m'avait déjà annoncé, il y a quelques années, la mort du guitariste. J'aurais pu faire une photo de la statue de Paco de Lucia qui se dresse à l'entrée du port d'Algeciras, la dernière fois que je m'y suis rendu accompagné de BBL. Mais, je n'y avais alors pas pensé et c'est maintenant sans importance. Le ciel, qui était couvert et gris, ce matin, commence à se dégager. Le soleil est de retour. Saki et moi, nous guettons l'arrivée de Schwartz sur le balcon. Entre dos aguas.
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2:18:00 PM
jeudi 24 octobre 2013
Activité restreinte
Seulement deux billets écrits pour Horizon au cours de ce mois d'octobre. C'est très peu. Pour autant, moins d'une poignée de billets publiés, sur une période d'un mois, n'est pas à considérer comme un fait exceptionnel ; il suffit de consulter les archives de ce blog pour s'en rendre compte. Je n'ai donc pas d'inquiétude à avoir, suite à cette remarque. Étant donné que je serai absent de chez moi, la semaine prochaine, il est d'ores et déjà certain qu'en ce mois d'octobre je ne battrai pas un record de publication. C'est surtout GTK 751 qui, ce mois-ci, a bénéficié du meilleur temps que j'ai pu accorder au développement de mes blogs, avec 40 images publiées. J'ai mis en ligne, dernièrement, d'autres images sur La Lumière Incertaine du Souvenir et Simulacres. Quelques autres encore sur Cloud Number Nine. J'ai même fabriqué 9 planches pour TTTTL. Je n'ai donc pas été totalement inactif, mais je ne suis pourtant pas très satisfait de mes publications ; non pas qu'elles soient moins de moins bonne qualité que celles publiées précédemment, mais parce que le coeur n'y était pas vraiment. J'ai alimenté ces blogs presque de façon automatique, routinière, par habitude. Cet état d'esprit changera peut-être à mon retour du Pays Basque où je ne suis pas rendu depuis 22 mois, presque deux ans, déjà. Presque deux ans, aussi, que je n'ai pas quitté Montmerdier. Jamais je ne m'étais fixé si longtemps sur une aire géographique aussi restreinte et pourrie.
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6:11:00 PM
mercredi 10 juillet 2013
Les mauvais relents
Le mois de Ramadan a débuté aujourd'hui. Ça ne signifie, maintenant, plus grand chose pour moi. Ma mauvaise humeur est passée. Ce qui ne veut dire pour autant que je suis de bonne humeur. Pour être de bonne humeur, en ces temps bordéliques de fin de civilisation, il faut être un peu niais et ne pas voir, ne pas comprendre où se dirige le monde. Mes animaux, eux-mêmes, sentent bien que l'atmosphère générale n'est pas actuellement propice à l'insouciance. Les occasions de se réjouir se font de plus en plus rares, sinon exceptionnelles. Il suffit de sortir quelques minutes sur son balcon pour saisir tous les mauvais relents portés par le vent, quelque soit sa direction. C'est ainsi ! BBL, mes animaux et moi, nous nous sommes trompés d'époque. Nous reviendrons, portés par la circularité du temps.
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10:36:00 PM
lundi 3 juin 2013
Isolation
Sans être parti, je ne suis déjà plus là. Je suis en train de réfléchir au meilleur moyen de m'isoler de ce monde de merde, encore plus intensément que je n'ai réussi à le faire jusqu'à présent. Je me dis qu'il doit être possible de construire un univers parallèle à cette civilisation à la con, une sorte d'abri dans lequel se réfugier facilement, le plus souvent possible, en attendant la fin des temps. Je mets de côté les solutions rapides et radicales telles que les drogues, trop illusoires, ou la transe, trop épuisante ; je ne pense pas aux techniques méditatives, tels que la prière, le yoga et ces choses là qui demandent d'avoir a priori la foi ; je délaisse la musique, pas toujours suffisamment prenante, mais aussi, parce que je ne veux pas perturber les moments de repos sacrés de mes animaux ; je ne peux uniquement compter sur la lecture, car je ne ferais que lire, ce qui a pour inconvénient une certaine passivité ; il y a bien le dessin, la peinture, la sculpture, le macramé, le sudoku et les mots croisés, mais ça ne me dit rien ; j'ai depuis longtemps cessé de jouer aux échecs contre l'ordinateur : à force de le battre régulièrement, je n'y prends plus beaucoup de plaisir. Alors, je réfléchis encore. Je trouverai.
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6:56:00 PM
samedi 11 mai 2013
Certaines lectures
Neuf planches, depuis le début du mois, sur TTTTL. J'en ai composé trois dans l'après-midi, mais je n'ai rien fait de plus. Bien que je sois levé depuis 06:30 AM, la journée est passée sans que je m'en rende compte. J'ai l'impression d'avoir perdu la notion du temps, l'impression que les 12 heures précédentes se sont contractées en quelques minutes. Étrange sensation. Enfin, pas si étrange que ça, puisque c'est une situation qu'il m'arrive de vivre assez souvent, surtout quand je me plonge dans certaines lectures. Ce qui fut en partie le cas, aujourd'hui, après avoir découvert pas mal de textes intéressants sur le Tumblr d’Élodie Gendreau, dont un texte de Stig Dagerman que je garderai en mémoire : Notre besoin de consolation est impossible à rassasier.
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7:27:00 PM
dimanche 7 avril 2013
20h/24h
Une nouvelle semaine débutera demain. Mes animaux et moi, nous avons revu et corrigé nos emplois du temps. Nous avons réussi à caser de nouvelles siestes, là où les affaires urgentes ne nous ont pas paru si urgentes que ça. C'est BBL qui nous a un peu poussés à reconsidérer nos agendas, après une conversation téléphonique sur les bienfaits du sommeil, en début de soirée. Aussi, mes animaux et moi, nous n'avons pas trop hésité à faire de la sieste la principale activité de la journée : 20h/24h !
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11:22:00 PM
jeudi 4 avril 2013
Hasardeux
Après avoir passé plus d'une heure à mettre en page Le périurbain, pourquoi, comment ?, un texte de Jacques Lévy sur l'urbanisme, en y incluant des images, après avoir vérifié que ce texte soit parfaitement lisible, purgé de toutes les inévitables coquilles, puis après l'avoir enfin publié, j'en arrive à me demander ce qui m'a poussé à passer autant de temps à réaliser une chose pareille. C'est, pour moi, un questionnement fréquent, un "à quoi bon" qui succède à presque toutes mes publications. Généralement, j'ai la réponse : la satisfaction d'avoir sous les yeux des données — images, textes — que je tiens à conserver et que je n'aurai pas de mal à retrouver quand j'en sentirai la nécessité, car publier est un bon moyen de classifier ma production. Mais, ce dernier texte ne m'appartient pas et, contrairement à certains textes littéraires, qui ne m'appartiennent pas non plus, mais qui pourraient éventuellement intéresser un quasi-improbable internaute doté de plus de deux ou trois neurones, amateur de belles Lettres, je suis persuadé que Le périurbain..., ne sera jamais lu par qui ce soit. Je me dis donc que j'aurais pu m'éviter de perdre mon temps. Mais, d'un autre côté, je me dis qu'un texte comme celui-ci, pourrait donner une chance à celui qui le lirait de se coucher moins con qu'il ne l'était le matin, au réveil. Cette éventualité a moins de chances de se réaliser que celles d'empocher le gros lot au loto, mais j'aime l'idée que ça puisse se produire quand même, un jour ou l'autre. C'est ma façon de provoquer le plus hasardeux des heureux hasards.
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2:30:00 PM
mercredi 13 mars 2013
Rien ne sert de courir
En arriver à manger en fonction du temps de cuisson des aliments, choisir des pâtes qui cuisent en 6 mn plutôt que celles qui demandent 11 mn de cuisson, parce qu'on en est à calculer des gains de temps à la minute près, c'est indubitablement la conséquence d'un mode d'existence qui ne tourne pas rond. Cette putain de civilisation nous pousse à faire n'importe quoi ! Hélas... Si j'en suis arrivé à gratter 5 mn, sur la durée d'une journée, c'est pour pouvoir mieux perdre mon temps en passant des heures sur un collage digital, intitulé : Songlines. Une opération — menée cet après-midi avec trois logiciels différents, côté graphisme — qui m'a demandé encore un peu plus de temps afin d'élaborer un fichier html, soit le support du collage, lui-même préalablement découpé en une dizaine de tranches pour accélérer l'affichage lors de la consultation de ce fichier via un quelconque navigateur. Cela pour, finalement, charger le tout sur le serveur en ligne. Reste maintenant à faire un peu de publicité à cet événement — ce que je m'applique à produire en ce moment en rédigeant ce billet. Voilà, c'est fait ! Je peux maintenant m'auto-congratuler, parce que mis à part BBL et mes animaux, personne à l'avenir ne saura que j'ai créé une nouvelle planche digitale. Et si, par le plus grand des hasards, quelqu'un l'apprenait, il ne m'en dira jamais rien, c'est certain. Van Gogh qui, selon le mythe, vivait sans que personne ne s'intéresse à ses oeuvres, devait tout de même avoir mille fois plus de signes de reconnaissance que moi. Je suis véritablement un artiste incompris. C'est ma destinée. Aussi, je ferai mieux de manger des spaghetti, qui demandent 11 minutes de cuisson, au lieu de me contenter de quelques petits vermicelles tout maigres.
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8:16:00 PM
mercredi 21 novembre 2012
Dans un mois
Ça m'arrive de plus en plus souvent : je peux passer des heures à sillonner le Web sans parvenir à trouver quelque chose de vraiment intéressant. C'est le cas aujourd'hui. Je n'ai pas quitté l'écran des yeux depuis le début de l'après-midi, mais sans que rien ne puisse retenir plus de quelques secondes mon attention. Malgré tout, j'ai continué jusqu'à présent à naviguer d'un site à l'autre en me laissant porter par les courants. Rédiger un billet sur Horizon me fera peut-être oublier le désagréable sentiment d'avoir perdu mon temps, face à l'écran. Je me rassure surtout en me disant que, dans un mois, jour pour jour, rien de tout cela n'aura plus aucune importance, puisque la fin du Monde mettra définitivement un terme à cet immense bordel. Comme je n'ai pas prévu d'embarquer d'ordinateur sur l'arche dans laquelle BBL, mes animaux et moi, nous prendrons place, à la veille de la fin des Temps, je serai enfin libéré des blogs et des réseaux sociaux. Dans un mois, toute prétention à communiquer via le Net quoi que ce soit vers qui que ce soit deviendra impensable. Jusqu'à cette date fatidique pour l'Humanité — mais pas pour nous —, il me faudra encore admettre que je puisse perdre mon temps. Par contre, dans un mois, si les Mayas ne se sont pas plantés dans leurs calculs astronomiques, je pourrai lire jusqu'au bout le second tome de L'Homme sans qualités, et bien d'autres choses encore, sans être régulièrement interrompu par la sonnerie de ma boite à mail indiquant qu'un idiot quelconque a laissé un commentaire, forcément stupide, sous l'une de mes publications. Vivement la quille !
at
6:19:00 PM
jeudi 3 novembre 2011
Et les écluses des cieux s’ouvrirent
Météo France a placé trois départements en vigilance rouge ce jeudi en fin de journée, l'Hérault, l'Aveyron et la Lozère, en raison de forts risques d'inondations. Temperature: 17.8°C | Humidity: 92% | Pressure: 1001.2hPa (Falling) | Conditions: Light Rain | Wind Direction: SE | Wind Speed: 40.2km/h. En raison de ces conditions météorologiques, mes animaux refusent d'aller faire un tour sur le balcon. Pat, pour passer le temps, s'est mis en tête de raconter à Schnoo et Saki de grands contes mythologiques. Il a un faible pour les récits apocalyptiques. Je l'entends citer la Bible (Genèse 7:11) : « En ce jour-là se fendirent toutes les sources de l’immense abîme d’eau et les écluses des cieux s’ouvrirent. » Schnoo et Saki l'écoutent, médusées. Pat est très fier du succès remporté par ses histoires, fréquemment ponctuées d'éclairs et de coups de tonnerre. Il s'emporte, par moment, et son récit s'enflamme. Pat est un grand prédicateur !
at
9:44:00 PM
lundi 20 juin 2011
Belle journée
Je pensais poster un billet pour marquer la fin du printemps, mais je n'ai rien à dire ; sinon que cette saison s'achève sur une très belle journée. Je pourrai mettre en ligne un morceau de musique, mais j'ai la flemme de copier/coller le code HTML indispensable pour cette opération, même si ça ne me demande pas plus de deux ou trois minutes. Peut-être que l'été me donnera l'occasion d'écrire de façon plus consistante... demain.
at
10:31:00 PM
mardi 14 juin 2011
vendredi 1 avril 2011
Avril
Nous sommes le 1er avril. Je ne sais pas où est passé le mois de mars : il m'a filé entre les doigts. Moment d’inattention. J'ai l'impression qu'hier on était encore en février et peut-être même en janvier. Demain, l'été, et bientôt... l'hiver. My year is a day!
at
12:04:00 AM
mercredi 12 janvier 2011
samedi 8 mai 2010
Le point zéro du temps
J’ai rapidement parcouru ce blog. Je me rends compte de la facilité avec laquelle je rédigeais de petits textes pour entretenir le rythme de mes publications. Au cours de la rédaction de ces textes, je ne me posais pas beaucoup de questions sur la profondeur du discours qui, quelques minutes plus tard, s’afficherait en ligne. Une phrase ou deux reflétant l’humeur du moment, la copie d’un bulletin météo, un commentaire sous une photo, suffisaient à produire un billet. J’éprouve, aujourd'hui, un peu de mal à retrouver cet élan.J’ai délaissé l’idée d’échafauder ce blog en une lente accumulation de points zéro du temps. Je n'avais pour mobile que le simple plaisir de réactualiser le souvenir d’un bref instant passé pour en faire, à la relecture, un nouveau un temps présent, un nouveau point zéro, selon la formule de Paolo Spinicci qui se demande comment peuvent s’harmoniser l’objectivité rigide et la subjectivité fluente du temps et qui propose donc de prendre appui sur un point zéro, qui serait d’ordre subjectif : "Dans le présent, chaque instant s’impose à la subjectivité comme le point zéro du temps."
Mais, je crois maintenant être en mesure de dessiner de futurs points zéro sur la ligne d’Horizon.
Mais, je crois maintenant être en mesure de dessiner de futurs points zéro sur la ligne d’Horizon.
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7:45:00 PM
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