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mardi 4 mars 2014

Résistance


Ce qui est déplorable, lamentable, désolant quand on s'est mis en tête de tenir à jour son blog, c'est qu'on se voit contraint d'écrire, alors qu'on a presque rien à dire, la plupart du temps. Donc, résigné, on écrit ce qu'on peut ; on se dit qu'on résiste, histoire de se rassurer et de faire semblant de croire en Deleuze, ce grand délirant. Beaucoup de vent soufflant du Nord, ce matin. Un ciel bleu pâle parsemé de tous petits nuages informes, insignifiants. Saki et moi, nos regards orientés vers les rambardes du balcon, nous attendons Schwartz qui devrait être déjà là.

dimanche 2 mars 2014

70 planches

Tout a commencé le 23 janvier dernier. Ce soir, je dénombre 70 planches affichées sur Le jour ne se lèvera plus jamais. 70 créations réparties sur 62 billets. Il me faudrait sûrement en virer plus de la moitié, sinon les ¾, pour que ce blog soit présentable. Mais je ne le ferai pas, car je veux m'en tenir à l'annonce faite, dès le début, disant qu'il faudrait considérer ces fabrications comme des essais, des brouillons, des ébauches. Je ne me souviens pas d'avoir renoncé à publier une seule de ces planches, une fois fabriquées, Photoshop refermé. Pour les planches pourries, celles qui ne valent rien ou pas grand-chose, je ne prends généralement conscience de leur misère esthétique que quelque temps après les avoir mises en ligne. C'est aussi vrai pour celles que je juge réussies, celles qui me procurent une certaine satisfaction, pourtant bien moins nombreuses. Ce sont les planches inscrites dans cette dernière catégorie qui m'incitent à continuer la fabrication presque quotidienne. Et surtout, je poursuis sur ma lancée, car ce blog divertit mes animaux. J'aurais pu rapidement me décourager, parce que, mis à part un commentaire, je n'ai jamais eu de retour sur ces publications. Ce ne sont pas les "Plus", que ces planches récoltent lors de leur passage sur Google Plus, qui me renseignent sur la façon dont elles sont appréciées. Je sais pertinemment que les "Plus" ou les "Like" en disent plus sur ceux qui ont cliqué que sur les publications en elles-mêmes. Ce dimanche, je n'ai pas créé la moindre planche, et donc rien publié sur LJNSLPJ. Mais la journée n'est pas encore finie. Peut-être qu'un nouvel affichage aura lieu avant minuit.

vendredi 24 janvier 2014

Le jour ne se lèvera plus jamais

Excepté quelques portraits de mes animaux, je n'ai pas fait de photos depuis l'année dernière. C'était pourtant, avec la lecture, ma principale activité. Voilà donc plus de trois semaines que je suis presque désœuvré — je n'ai pas cessé de lire. Je ne prends même pas la peine d'écrire régulièrement pour Horizon. Je me rapproche au plus près du mode d'existence de mes animaux, en me contentant de faire seulement ce qui est quotidiennement indispensable pour conduire nos vies d'un jour vers l'autre. Mais, dans la nuit d'hier, j'ai légèrement modifié le cours des choses en dessinant rapidement, à l'aide de Photoshop, de petits tableaux carrés. J'ai ainsi renoué avec une ancienne pratique qui consiste à fabriquer, en moins de cinq minutes, une image, sans trop réfléchir à ce qui se dessine sur l'écran, en me laissant plus ou moins guider par les affectes immédiats. Cette fois-ci, c'est en m'appuyant sur les sensations induites par la musique écoutée au casque, autorisant Foobar 2000 à choisir les morceaux de façon aléatoire, que j'ai produit quelques planches. Je projette de renouveler, le plus souvent possible, cette opération et d'afficher publiquement ce que je jugerai bon d'être montré. Alors, dans cette intention, j'ai ouvert un nouveau blog sur Blogger que j'ai intitulé : Le jour ne se lèvera plus jamais. Une prophétie comme une autre.

jeudi 9 janvier 2014

Duotone

Je me suis souvenu, il y a un instant, que j'avais déjà publié des images en duotone, mais en utilisant ce procédé de manière différente, un peu plus complexe, par rapport au traitement opéré sur les photographies mises en ligne sur In Illud Tempus. Cet essai, qui ne comporte que trois images, est encore visible sur Somewhere. Je constate d'ailleurs que Somewhere n'aura pas vécu bien longtemps. C'est sûrement ce qui explique cet oubli. Bizarrement, la connexion ADSL, qui relie mon PC à l'Internet, fonctionne très bien depuis ce matin. Ce n'est pas normal. Ça ne devrait pas durer.

mardi 7 janvier 2014

In Illud Tempus

Début décembre, j'ouvrais un nouveau blog sur Blogger, simplement parce que l'adresse était très simple et, surtout, disponible : cotexte.blogspot.fr. Je l'ai laissé en sommeil pendant tout un mois, ne sachant pas comment l'alimenter. En ce début d'année, j'ai décidé de publier des photographies en duotone. Aussi, j'ai réintitulé ce blog : In Illud Tempus. Puis, je l'ai gavé en quelques jours d'une cinquantaine d'images réparties, pour l'instant, sur 33 posts. Ce sont des photographies puisées presque au hasard dans les profondeurs abyssales de mes disques durs. Elles ne suivent pas l'ordre chronologique des prises de vue et sont souvent associées en une même publication de façon assez aléatoire, sans intention bien établie, bien réfléchie. Par ailleurs, je ne cherche pas à prévoir la durée de vie de ce blog, qui ne sera peut-être plus alimenté dans quelques semaines, mais qui peut aussi durer plusieurs mois, voire plusieurs années. Quoique...

dimanche 8 décembre 2013

Je pense à eux

Ah ! Mais que deviendrais-je si je n'avais pas mes animaux pour surveiller mes actions, lire et relire, avant publication, ma production artistique ? D'autant plus que BBL, surchargée de travail, n'a pas en cette période une minute pour veiller, a posteriori, sur ce que je peux écrire pour Horizon et me faire part ensuite de ses lumineuses remarques. Sans eux, les billets, qui s'empilent sur ce blog, ne seraient qu'une longue série de textes vantant les mérites stylistiques de l'auteur, exposant la manière héroïque dont il conduit, d'une main ferme et vigoureuse, son valeureux discours jusqu'au point final. Sans eux, je serais un blogueur qui se laisserait aller, comme la plupart des écrivains, à chanter sa propre gloire de manière plus ou moins explicite, bien que les lecteurs aiment à ce que les artistes présentent la face humble de leur personnalité, c'est-à-dire qu'ils se montrent déguisés sous les oripeaux de l'humilité. C'est ce que me rappellent sans cesse mes animaux. « Ne gâche pas l'admiration sans bornes de tes lecteurs en mettant trop en avant tes indubitables talents. Pense de temps à autre à écrire quelques âneries, qu'elles ne soient pas quotidiennes, certes, mais pense tout de même à te montrer proche d'eux. Ne surestime pas leurs faibles capacités intellectuelles, elles sont le lot du quadrupède humain ordinaire », me disent-ils. J'ai là des conseillers forts raisonnables. Aussi, je n'hésite jamais à prendre en compte leurs recommandations. D'où les quelques banalités dans mes propos, des facilités qui émaillent, de-ci de-là, sur certains billets. Voilà, pour mes futurs biographes. Je tiens à leur faciliter la tâche. Je pense aussi à eux.

dimanche 1 décembre 2013

Challenge

En fin d'après-midi, m'est venue l'idée de publier un maximum de billets sur Horizon, tout au long de ce mois de décembre, afin de tenter de battre le record de publications mensuelles établi en juin dernier, et, de surcroît, dépasser ainsi la barre des 200 billets annuels, ce qui serait d'un certain point de vue assez remarquable. Pourtant, j'hésite à me lancer dans ce type de performances, parce que ça ressemble trop à cette idée à la con qui hante ces bourrins de coaches, et qui voudrait qu'on doive se dépasser pour exister, relever des challenges, mener sa vie comme une entreprise cotée en bourse. C'est le truc le plus stupide que l'on puisse faire, sans parler de la déplorable mentalité qui est le lot des crétins qui s'aventurent dans un projet pareil. D'un autre côté, je sais que ce type de contraintes pousse à se sortir d'un certain confort et oblige à réduire le taux naturel, inné, presque irréductible de laisser-aller qui est l'une des caractéristiques saillantes de ma conduite sur les chemins tortueux, non balisés et faiblement tracés de mon existence. Le perfectionnement de son esprit, comme le dirait Baudelaire, n'est pas la pire des choses à envisager, surtout pour un type comme moi qui n'a rien d'autre de mieux à faire, en dehors de veiller sur le bien-être de ses animaux. J'hésite encore parce que je ne suis pas gouverné par des pulsions masochistes telles que les décrit Freud dans son époustouflant portrait de Dovstoïevski — je suis en train de le lire —, bien au contraire. Écrire peut, pour moi, s'avérer parfois comme une véritable torture et je veux éviter de me touver dans une situation pareille. Aussi, je vais prendre conseil auprès de mes animaux, en discuter longuement avec eux, peser le pour et le contre — comme le fait si bien Pat quand il s'agit de choisir la meilleure manière d'entamer sa sieste — avant de déclarer qu'en ce mois de décembre, on pourra lire sur Horizon plus de 30 billets. Rien ne presse, ne nous emballons pas. Réfléchissons encore.

lundi 18 novembre 2013

Rien


Je n'ai pas réduit ma consommation de café, je ne l'ai d'ailleurs pas augmentée, elle reste stable, alors que la production de billets pour mes blogs est réellement en chute libre. Je vois dans ce phénomène, qui n'a rien d'extraordinaire, le fait qu'en ce moment, je suis replié dans un univers de pensées orné de réflexions qui ne peuvent pas être rendues publiques, parce qu'elles n'intéresseraient vraiment personne, et qu'il y a déjà trop peu de monde qui s'intéresse à ce que je peux écrire. Publier quelques phrases donne quand même l'illusion de s'adresser à une intelligence quelconque, procure le sentiment de ne pas simplement monologuer, à longueur de temps. Certes, ce n'est pas aussi satisfaisant que de parler à mes animaux, qui représentent, pour moi, d'authentiques interlocuteurs, mais c'est une sorte de supplément à nos passionnantes conversations. Si, exceptés mes animaux, je ne parle jamais à personne où presque, c'est parce qu'il est généralement plus intéressant de parler à un mur, qui peut parfois renvoyer un écho, plutôt que de s'adresser à un quadrupède humain doté d'une cervelle tellement poreuse et inconsistante qu'il est alors impossible d'avoir le moindre retour sous forme de langage plus ou moins bien articulé. Et comme, je n'aime pas perdre mon temps, déjà dûment rempli par le foisonnement de mon courageux et infatigable intellect toujours prêt à déconstruire le monde, pour en examiner les rouages et en comprendre toute la complexité du fonctionnement, je m'abstiens le plus souvent de faire part de mes opinions qui, forcément, resteront incomprises du public. Non, je n'ai pas rien à dire, rien à écrire, mais ce que je ne veux surtout pas, c'est me fatiguer pour rien. D'où le faible volume de mes publications.

dimanche 10 novembre 2013

Connexions

Depuis près d'un mois, je me connecte à l'Internet de façon aléatoire, quand la ligne ADSL fonctionne. Comme elle ne fonctionne que par intermittence et ne m'autorise à surfer que rarement plus de quelques minutes d'affilée, je me contente la plupart du temps de consulter mes mails, c'est-à-dire les newsletters, puisqu'il y a bien longtemps que plus personne ne m'écrit. Je n'ai pas l'intention de faire réparer la ligne, car ce dysfonctionnement m'oblige à passer moins de temps sur l'Internet, ce qui n'est pas une mauvaise chose, sachant que cela me permet d'avoir plus de temps pour des activités souvent bien plus intéressantes — la sieste, en particulier — que celle qui consiste à surfer sans but précis sur le Web. Malgré tout, j'ai pu alimenter en images quelques photoblogs, tels que GTK 751, CNN ou LLIDS, lorsque la ligne a fonctionné suffisamment longtemps sans interruption, permettant alors des publications. Ce qui est sûr, dorénavant, c'est que, connexion ADSL stable ou pas, je ne peux plus me permettre d'entretenir une myriade de blogs. Et s'il m'a fallu déjà en négliger un bon nombre, je vais faire en sorte de concentrer mon activité sur une poignée de sites et laisser définitivement le reste à l'abandon, peut-être même aller jusqu'à les écraser. Je sais, c'est triste, mais c'est nécessaire. Bien entendu, Horizon et GTK 751 survivront, ainsi que CNN ou peut-être LLIDS. Pour le reste, nous verrons.

jeudi 24 octobre 2013

Activité restreinte


Seulement deux billets écrits pour Horizon au cours de ce mois d'octobre. C'est très peu. Pour autant, moins d'une poignée de billets publiés, sur une période d'un mois, n'est pas à considérer comme un fait exceptionnel ; il suffit de consulter les archives de ce blog pour s'en rendre compte. Je n'ai donc pas d'inquiétude à avoir, suite à cette remarque. Étant donné que je serai absent de chez moi, la semaine prochaine, il est d'ores et déjà certain qu'en ce mois d'octobre je ne battrai pas un record de publication. C'est surtout GTK 751 qui, ce mois-ci, a bénéficié du meilleur temps que j'ai pu accorder au développement de mes blogs, avec 40 images publiées. J'ai mis en ligne, dernièrement, d'autres images sur La Lumière Incertaine du Souvenir et Simulacres. Quelques autres encore sur Cloud Number Nine. J'ai même fabriqué 9 planches pour TTTTL. Je n'ai donc pas été totalement inactif, mais je ne suis pourtant pas très satisfait de mes publications ; non pas qu'elles soient moins de moins bonne qualité que celles publiées précédemment, mais parce que le coeur n'y était pas vraiment. J'ai alimenté ces blogs presque de façon automatique, routinière, par habitude. Cet état d'esprit changera peut-être à mon retour du Pays Basque où je ne suis pas rendu depuis 22 mois, presque deux ans, déjà. Presque deux ans, aussi, que je n'ai pas quitté Montmerdier. Jamais je ne m'étais fixé si longtemps sur une aire géographique aussi restreinte et pourrie.

vendredi 18 octobre 2013

A quoi bon ?

C'est régulier, à une période ou une autre, j'en arrive toujours à me demander s'il ne serait pas temps de mettre définitivement fin à cette manie qui consiste à créer des textes — insignifiants — afin d'alimenter mes blogs, dont celui-ci, en particulier. Ce questionnement survient généralement quelques jours après m'être déshabitué à produire des billets, car, contrairement à ce que prétendent les auteurs de littérature exigeante, cette espèce de pseudo écrivains foisonnante sur le Web francophone, écrire est loin de représenter une nécessité favorisant le sentiment d'exister. C'est plutôt, à mes yeux, une façon d'employer paisiblement des moments perdus, comme d'autres font du tricot, du macramé, des sudokus ou des mots croisés. Pour écrire véritablement, il faut avoir quelque chose à dire et très peu de gens ont réellement quelque chose à dire. Seule une infime partie des quadrupèdes humains a quelque chose de vraiment intéressant à dire ; elle seule est en mesure de produire des textes qui valent la peine d'être lus, des textes qui entreront sans ambiguïté dans la catégorie Littérature. Le reste relève de l'information insipide et du divertissement plus ou moins stupide. Et le discours sera d'autant plus stupide que l'auteur pensera pouvoir échapper facilement à la bêtise en se faisant de terribles illusions sur l'importance de ce qu'il aura à exprimer. Tout cela pour noter que, dans la fabrication de billets, qui demande pourtant une certaine régularité, chaque interruption prolongée m'amène à cette réflexion : « À quoi bon ? » « Oui ! À quoi bon ? » me demandent mes animaux qui pensent que je ferais mieux de faire la sieste avec eux, car, de leur point de vue, cela serait bien plus utile, puisque, même sans être pris par la fièvre de l'écriture, mon corps dégage une température constante de 37°C, soit un bon moyen de chauffer le lit. Ce qui, en ce début d'automne, n'est certainement pas désagréable pour ces paresseux félins frileux. Je ne leur donne pas tort : la sieste est certainement une activité bien plus noble et digne d'intérêts que la fabrication d'un blog, soit l'interminable production d'un discours inepte.

lundi 2 septembre 2013

Hier, dans la nuit

Hier, dans la nuit, j'ai entamé la Trilogie New Yorkaise de Paul Auster et, donc, le premier des récits : Cité de verre. C'est très bien. Je ne sais pas combien de temps il me faudra pour finir de lire cette trilogie, car les moments que je consacre à la lecture se font presque aussi rares, bien que plus conséquents, que ceux consacrés à la rédaction de textes pour mes blogs. Même mes photoblogs sont quasiment en panne. Il m'arrive, certains jours, de ne pas faire de photos. Ce qui, pour moi, est assez inhabituel. Le seul photoblog que j'ai chichement alimenté, c'est GTK 751. L'été m'a tué.

jeudi 1 août 2013

Stable et constant

Première journée d'août ni bonne, ni mauvaise. Journée ordinaire. La densité de population a sensiblement baissé dans la résidence, mais on est loin du taux minimum acceptable en cette période. C'est la crise. C'est regrettable. Après avoir écrit ce qui précède, j'ai souri en relisant un billet publié le 3 août 2012, et mon sourire s'est élargi à la lecture de la phrase suivante : « Cet été sera sûrement le pire de la dernière décennie. » Ce qui fait que j'ai remonté le cours du temps en m'intéressant à ce que je disais, du même ordre, aux mois d'août précédents : rien de particulier en 2011, mais, en 2010, c'était à partir du 18 que le ciel s'assombrissait. Par contre en 2009, dès le 2 août, je parlais du voisinage dans des termes similaires à ceux que j'ai pu employer dernièrement. On ne pourra pas dire que j'ai des sautes d'humeur : pendant quatre ans, au mois d'août, mon état d'esprit est resté stable et constant face à l'environnement social, l'ethos communicatif de mes voisins, qui, malheureusement, ne varie pas beaucoup, non plus.

lundi 8 juillet 2013

Réouverture

Pas de billet publier, hier, et juste un petit mot ce soir pour signaler le fait que j'ai relancé Caseasauria, un blog dont j'avais effacé tout le contenu, fin mars. Je l'ai relancé avec Route, un billet composé de quatre images faites dans l'après-midi en rentrant de Gigean. Je les avais auparavant publiées sur Écumes, mais j'en ai marre d'être obligé de cliquer trois fois sur la même image pour l'afficher dans son format original. C'est le principal inconvénient du template Tumblr sur lequel j'ai construit Écumes, sans parler de l'affichage sur fond noir. J'ai réglé Caseasauria pour qu'il supporte les photographies au format 1024 pixels, dans la largeur, ce qui évite d'avoir à les ouvrir dans une autre fenêtre. C'est parfait. C'est ce que je voulais. D'autres images viendront bientôt compléter ce photoblog.

mercredi 3 juillet 2013

Un certain rythme

Je me demande si je tente de réitérer « l'exploit » de juin, c'est à dire publier autant, sinon plus, de billets qu'il y a de jours dans le mois, mais en réalité, je n'en ai pas tellement envie. Ou plutôt, je ne tiens pas à ce que produire du texte devienne une contrainte machinale. Je vais tout de même essayer d'écrire le plus souvent possible, parce que quitte à tenir un blog, autant l'alimenter fréquemment. D'autant plus que relever le défi fixé le mois dernier s'est révélé être une entreprise assez agréable à mener. Je ne sais donc pas, pour l'instant, si le compteur d'Horizon affichera 31 billets, fin juillet. Je ne prévois rien qui puisse aller dans ce sens, pour le moment. Mais, je vais tenter de garder un certain rythme de publication. Ça me semble maintenant plus facile qu'auparavant.

mardi 25 juin 2013

4 Lecteurs


Selon une infographie publiée, ce soir, par l'AFP, il y aurait 2,4 milliards d'utilisateurs d'Internet dans le monde. Alors, je me demande pourquoi je n'ai que 4 lecteurs — BBL, Pat, Schnoo & Saki — qui consultent régulièrement mes multiples blogs. Si l'on en croit l'AFP, je ne prêche pourtant pas dans le désert. C'est étrange. La rumeur, sur le Web, prétend qu'un blogeur qui n'a pas de lectorat est un blogueur qui sera vite amené à abandonner son blog. Je suis donc l'exception à cette règle à la con. D'ailleurs, je ne cherche pas à rameuter, comme le font les blogueurs exigeants en mal de reconnaissance, une bande d'idiots quasi-illettrés qui liront, forcément de travers, tout ce que je pourrai publier. Non, rien ne me poussera à ça. Je me passe très facilement de ce genre de lectorat et même de lectorat tout court. Exceptés mes 4 lecteurs qui valent largement les 2,4 milliards d'individus connectés à l'Internet. C'est pour ces quatre personnes que j'écris et, en réalité, c'est avant tout pour moi-même, dans un état d'esprit qui peut peut-être se rapprocher de ce que déclarait Sylvia Plath et plus sûrement de ce qu'annonçait La Voix, il y a peu de temps.

dimanche 16 juin 2013

Double anniversaire

Throw Them To The Lions a aujourd'hui deux ans. C'est Tumblr qui, par mail, m'a rappelé cet anniversaire. Ce qui m'a donné l'occasion de penser à un autre anniversaire : l'ouverture de Scheiroblog, mon premier blog sur Blogger, il y a maintenant neuf ans. Journée tranquille. Dimanche paisible.

lundi 10 juin 2013

Tumblr × 3

Tumblr m'a expédié trois mails, ce matin, pour me rappeler que Vues des Anges, Capricorne et Symboles ont aujourd'hui deux ans. J'avais ouvert ces trois microblogs, l'un à la suite de l'autre. Le 10 juin 2011, je devais me sentir aussi désœuvré que ce je le ressens en ce moment. Avec, actuellement, ses 364 posts, seul Vues des Anges a été régulièrement alimenté, et connaît même un certain succès.

vendredi 24 mai 2013

Visites

Horizon a dépassé, depuis peu de temps, la barre des 10.000 pages visitées. C'est assez surprenant, parce que je n'ai jamais fait la promotion de ce blog, en relayant les billets sur Twitter ou Google Plus. Il ne figure d'ailleurs pas dans les liens affichés sur mon profile G+. Horizon n'apparaît pas, non plus, dans les listes de liens affichées sur la plupart de mes différents blogs. Je ne chercherai pas, en tout cas, à résoudre cette énigme sans grande importance. Je me demande pourtant, qui — BBL mise à part — peut avoir intérêt à lire ce que je publie ici. D'autant plus que je sais que personne dans mon entourage ne prête attention à ce que je peux mettre en ligne, sur le Web. Je suis donc persuadé que la majeure partie de ces visites sont faites par de véritables inconnus qui se donnent la peine de prendre régulièrement de mes nouvelles. Mais, pourquoi ? C'est étrange. Pour mémoire : le 24 mai 2011, je relevais le bulletin météorologique. Les températures étaient nettement différentes de celles que nous avons connues aujourd'hui, au plus chaud de la journée, à 06:00 PM CEST : Temperature: 17°C | Humidity: 34% | Pressure: 1014hPa (Steady) | Conditions: Clear | Wind Direction: WNW | Wind Speed: 33km/h.

dimanche 19 mai 2013

Performance

Je faisais remarquer à BBL, ce matin, lors d'une conversation téléphonique, qu'il me faudrait encore écrire 26 billets pour que l'année 2013 soit quantitativement plus féconde, pour Horizon, que les années précédentes — 2009 mise à part. Mais, même le record de 2009 pourrait être dépassé, puisque je n'aurai plus que 72 billets à publier pour que 2013 devienne l'année la plus productive. Afin d'atteindre cet objectif, il me faudrait maintenir, jusqu'à la fin décembre, une cadence dans mes publications d'environ un billet tous les 3 jours. Ça ne semble pas a priori insurmontable. Et, pourtant... Je ne suis pas certain d'y parvenir. Ce constat m'amène, une nouvelle fois, à me demander comment font ces écrivains qui peuvent comptabiliser plusieurs dizaines d'essais et/ou romans dans leur bibliographie, cela sur la durée d'une période d'un demi-siècle, environ. On ne peut sûrement pas parler pour çà de performance, mais de quelque chose qui me semble pourtant assez étrange. Étrange, car je cale facilement en cours de rédaction : au bout d'une dizaine de phrases, généralement. Il me faut ensuite une bonne journée pour me remettre de ce type d'exercice. Il y a quand même une explication : les auteurs prolifiques écrivent rarement à jeun ; ils ne se contentent pas, comme moi, d'un litre de café et d'un paquet de cigarettes, mais carburent très souvent à l'alcool, ainsi qu'aux amphétamines, à la cocaïne et à un tas d'autres substances encore qui boostent largement leur productivité. Ceci explique, en grande partie, cela. Enfin, ce billet est le 78e de l'année 2013, et le 450e depuis le lancement d'Horizon. Encore quelques décilitres de café 100 % arabica et quelques cartouches de Camel sans filtre. A suivre...

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