Vers 16 heures, j'ai entamé la lecture de "La noblesse de l'esprit, un idéal oublié" de Rob Riemen. Je m'étais arrêté à la préface de George Steiner que j'avais immédiatement lue quand j'ai eu ce livre en mains,
à la fin du mois dernier, après que BBL me l'a ramené de la librairie.

Riemen parle de son amitié avec Élisabeth, la fille de Thomas Mann, et d'une rencontre à New York, au River Café, avec un ami cher à cette dernière, Joseph Goodman, un grand musicien, fou de l'immense poète Walt Whitman. J'aime beaucoup Walt Whitman que j'avais découvert après avoir vu l'excellent film de Jim Jarmusch : "Dawn by law". Je regrette seulement de ne jamais avoir lu Thomas Mann. Aussi, je me suis promis de me lancer très bientôt dans la lecture de cet illustre auteur. En attendant, j'en suis à la page 44 de "La noblesse de l'esprit", un livre qui débute de manière fort intéressante. Je me trouve juste à l'endroit où Riemen entame un chapitre sur Baruch Spinoza. J'adore !