Une simple note, très courte, qui ne reflétera que la trace de mon passage rapide sur le dashboard de ce blog. Je colle pour l'occasion une petite image faite, en deux ou trois mouvements, avec Pixia et je raccroche ma ligne ADSL. La nuit n'est pas très avancée, mais j'en ai assez. J'ai mon compte !
mercredi 29 juillet 2009
P 101
Une simple note, très courte, qui ne reflétera que la trace de mon passage rapide sur le dashboard de ce blog. Je colle pour l'occasion une petite image faite, en deux ou trois mouvements, avec Pixia et je raccroche ma ligne ADSL. La nuit n'est pas très avancée, mais j'en ai assez. J'ai mon compte !
mardi 28 juillet 2009
Loin
Parfois, mais c'est très rare, je prends la route et je vais plus loin encore.
Ma mère ne doit pas vraiment se rendre compte de la manière dont je vis les choses. Ce n'est que ce soir qu'elle m'a appris, au téléphone, la mort de ma cousine Isabelle, à peine plus âgée que moi. Son décès remonte à l'année dernière. Ma mère l'avait appris, mais ne m'en avait pas parlé.
Ma mère ne sait pas que j'aimais beaucoup Isabelle. Je ne lui ai rien dit. Seule BBL le sait. Passa la vida...
Ma mère ne doit pas vraiment se rendre compte de la manière dont je vis les choses. Ce n'est que ce soir qu'elle m'a appris, au téléphone, la mort de ma cousine Isabelle, à peine plus âgée que moi. Son décès remonte à l'année dernière. Ma mère l'avait appris, mais ne m'en avait pas parlé.
Ma mère ne sait pas que j'aimais beaucoup Isabelle. Je ne lui ai rien dit. Seule BBL le sait. Passa la vida...
lundi 27 juillet 2009
Ailleurs
De temps en temps, j'ouvre une photo qui représente un paysage comme celui-ci et, pour une durée de quelques secondes, mon esprit se transporte ailleurs.
dimanche 26 juillet 2009
Microblogging
Mon premier compte Twitter @scheiro est entré, hier, dans sa troisième année en début d'après-midi. J'avais longuement hésité avant de l'ouvrir en me demandant ce que je pourrais bien faire d'une chose pareille. Et puis, un jour, je ne sais plus pourquoi, j'ai franchi le pas en m'inscrivant sur cette plate-forme de microblogging. Nous étions au Pays Basque. Il pleuvait probablement.
Je suis en pleine phase "souvenir" en ce moment. Ces commémorations vont finir par me coller le blues.
Je suis en pleine phase "souvenir" en ce moment. Ces commémorations vont finir par me coller le blues.
jeudi 23 juillet 2009
Dix ans, déjà
Je m'en souviens très bien. BBL et moi on se trouvait en balade dans les Cévennes. On roulait sur une petite route départementale, dans un endroit quasi désert, quand on a entendu la radio annoncer le décès de Hassan II. C'était le 23 juillet 1999. Il y a déjà dix ans.
Je ne me souviens pas avoir dit quelque chose de particulier, mais pour moi cette nouvelle n'était pas sans importance. D'ailleurs, je sais que que je n'ai pas roulé très longtemps après avoir pris connaissance de la mort du Malik. Quelques centaines de mètres plus loin, je me suis garé. J'étais un peu triste de ne pas vivre ce moment là, au bled, avec ma famille et mes amis toujours là-bas. Dans un même temps, je commençais à me faire un peu de soucis en me demandant comment les Marocains allaient vivre cette nouvelle situation.
BBL et moi, on a laissé la voiture sur le bas-côté pour aller marcher dans les collines qui surplombaient la route. C'était une belle journée. L'air était chaud et sec, vibrant. La végétation aussi était bien sèche. Les collines ondulaient dans des tons beiges, couvertes de poussières lumineuses. Il n'y avait aucun bruit. Une page venait de se tourner.
Je ne me souviens pas avoir dit quelque chose de particulier, mais pour moi cette nouvelle n'était pas sans importance. D'ailleurs, je sais que que je n'ai pas roulé très longtemps après avoir pris connaissance de la mort du Malik. Quelques centaines de mètres plus loin, je me suis garé. J'étais un peu triste de ne pas vivre ce moment là, au bled, avec ma famille et mes amis toujours là-bas. Dans un même temps, je commençais à me faire un peu de soucis en me demandant comment les Marocains allaient vivre cette nouvelle situation.
BBL et moi, on a laissé la voiture sur le bas-côté pour aller marcher dans les collines qui surplombaient la route. C'était une belle journée. L'air était chaud et sec, vibrant. La végétation aussi était bien sèche. Les collines ondulaient dans des tons beiges, couvertes de poussières lumineuses. Il n'y avait aucun bruit. Une page venait de se tourner.
mercredi 22 juillet 2009
Moutons francophones
"La salle Francophone - Un endroit où on partage le contenu Francophone. Aussi pour apprendre." [via l'indispensable jérôme Flipo ;-) ] - narvic from BookmarkletC'est de cela dont je parlais hier sur SCH 2009. Bien entendu "l'indispensable jérôme Flipo" léchera à son tour le cul d'un autre "indispensable" quelconque. Ça n'arrête pas ! C'est comme ça sur la plupart des blogs français ; ça déborde sur Twitter et maintenant sur Friendfeed, parce que ces connards viennent de découvrir cet outil. Et, bien entendu, les léchouilleurs vont se regrouper dans "un endroit où on partage le contenu Francophone". Comprendre que le troupeau va se rassembler dans la bergerie francophone. Pov' moutons francophones !
mardi 21 juillet 2009
Mother of Exiles
En lisant Rob Reimen, j'ai appris qu'au pied de la statue de la Liberté est gravé un poème d'Emma Lazarus :Une femme puissante avec une torche, dont la flammeVu la renommée de la "femme puissante", c'est quelque chose que j'aurais du savoir depuis longtemps. Je ne sais pas comment j'ai pu ignorer cela jusqu'à maintenant. Pourtant, malgré la notoriété de cette statue, qui s'appelle officiellement Liberty Enlightening the World [La liberté éclairant le monde], je suis persuadé que, tout comme moi, peu de gens savent qu'elle représente la Mère des exilés.
Est la foudre emprisonnée, et son nom
Mère des exilés.
Enfin, je dis ça mais je n'en sais rien. En réalité, j'étais peut-être une des rares personnes à ne pas le savoir. Il faudra que je pense à interroger les gens dans mon entourage à ce sujet, bien que cela ne serve en aucun cas de véritable sondage.
Followers
Je ne comprends pas qu'il soit déjà presque minuit parce que je ne me suis pas rendu compte de la vitesse à laquelle le temps est passé une fois que le téléphone était raccroché.
Je n'ai pas posté sur Twitter aujourd'hui, pas la moindre phrase. Par contre, en jetant un oeil sur les followers, j'ai eu une intuition : le montpelliérain qui, il y a 2 ou 3 jours, avait mis mon Twitter en following et que, par politesse, j'avais placé en followers avait du se rétracter entre temps, une fois qu'il avait su que je le suivais. Et, ça n'a pas raté : vérification faite, c'est bien ce qui s'était passé. Sur Flickr, parmi mes 256 contacts, je n'ai accepté qu'une seule personne de Montpellier, sachant qu'elle est d'origine canadienne. C'est la même règle que j'appliquerai dorénavant pour Twitter : aucune personne de Montpellier ou de cette région n'entrera dans la liste "following". C'est simple et ça permet de conserver le sourire.
Je n'ai pas posté sur Twitter aujourd'hui, pas la moindre phrase. Par contre, en jetant un oeil sur les followers, j'ai eu une intuition : le montpelliérain qui, il y a 2 ou 3 jours, avait mis mon Twitter en following et que, par politesse, j'avais placé en followers avait du se rétracter entre temps, une fois qu'il avait su que je le suivais. Et, ça n'a pas raté : vérification faite, c'est bien ce qui s'était passé. Sur Flickr, parmi mes 256 contacts, je n'ai accepté qu'une seule personne de Montpellier, sachant qu'elle est d'origine canadienne. C'est la même règle que j'appliquerai dorénavant pour Twitter : aucune personne de Montpellier ou de cette région n'entrera dans la liste "following". C'est simple et ça permet de conserver le sourire.
lundi 20 juillet 2009
Tout va bien
Deux minutes après avoir posté le message précédent, Mouïnti a téléphoné : l'opération s'est bien passée. Jean ne souffre pas trop. Dans une semaine, il sera de retour à la maison.
Tromper l'attente
Je ne sais pas ce qui m'a pris en début de soirée, j'ai rédigé et publié un post de 2600 signes sur SCH 2009 que j'ai intitulé "Insupportable". Mais, la lecture du titre vient de me donner - à l'instant - l'origine de l'impulsion qui m'a conduit à écrire un texte pareil : c'était pour tromper l'attente !
En effet, Jean a été opéré ce matin, mais je n'ai toujours pas de nouvelle concernant son état de santé. Il est 08:00 pm et je trouve l'attente un peu longue. Mais, bon, comme dit le dicton : pas de nouvelle...
En effet, Jean a été opéré ce matin, mais je n'ai toujours pas de nouvelle concernant son état de santé. Il est 08:00 pm et je trouve l'attente un peu longue. Mais, bon, comme dit le dicton : pas de nouvelle...
dimanche 19 juillet 2009
La noblesse de l'esprit
Vers 16 heures, j'ai entamé la lecture de "La noblesse de l'esprit, un idéal oublié" de Rob Riemen. Je m'étais arrêté à la préface de George Steiner que j'avais immédiatement lue quand j'ai eu ce livre en mains, à la fin du mois dernier, après que BBL me l'a ramené de la librairie.
Riemen parle de son amitié avec Élisabeth, la fille de Thomas Mann, et d'une rencontre à New York, au River Café, avec un ami cher à cette dernière, Joseph Goodman, un grand musicien, fou de l'immense poète Walt Whitman. J'aime beaucoup Walt Whitman que j'avais découvert après avoir vu l'excellent film de Jim Jarmusch : "Dawn by law". Je regrette seulement de ne jamais avoir lu Thomas Mann. Aussi, je me suis promis de me lancer très bientôt dans la lecture de cet illustre auteur. En attendant, j'en suis à la page 44 de "La noblesse de l'esprit", un livre qui débute de manière fort intéressante. Je me trouve juste à l'endroit où Riemen entame un chapitre sur Baruch Spinoza. J'adore !
Riemen parle de son amitié avec Élisabeth, la fille de Thomas Mann, et d'une rencontre à New York, au River Café, avec un ami cher à cette dernière, Joseph Goodman, un grand musicien, fou de l'immense poète Walt Whitman. J'aime beaucoup Walt Whitman que j'avais découvert après avoir vu l'excellent film de Jim Jarmusch : "Dawn by law". Je regrette seulement de ne jamais avoir lu Thomas Mann. Aussi, je me suis promis de me lancer très bientôt dans la lecture de cet illustre auteur. En attendant, j'en suis à la page 44 de "La noblesse de l'esprit", un livre qui débute de manière fort intéressante. Je me trouve juste à l'endroit où Riemen entame un chapitre sur Baruch Spinoza. J'adore !
Traverses
Jean est de nouveau hospitalisé depuis la fin de l'après-midi. Il sera opéré demain à 07:30 am. Il n'avait pas trop le moral ce soir. Mais dans une semaine tout ira mieux.
Hier, j'ai consacré dans la soirée un long moment à mettre en forme une page HTML. Je l'ai ensuite publiée sur "Traverses". Cette nouvelle page qui donne une idée de l'atmosphère qui règne dans le Quartier des Universités situé au nord de Montpellier. 12 photographies faites en plein milieu du mois de Juillet, au moment où la plupart des habitants sont en vacances. C'est une des meilleures périodes de l'année.
Hier, j'ai consacré dans la soirée un long moment à mettre en forme une page HTML. Je l'ai ensuite publiée sur "Traverses". Cette nouvelle page qui donne une idée de l'atmosphère qui règne dans le Quartier des Universités situé au nord de Montpellier. 12 photographies faites en plein milieu du mois de Juillet, au moment où la plupart des habitants sont en vacances. C'est une des meilleures périodes de l'année.
vendredi 17 juillet 2009
Le désastre grandiose
Une nouvelle étape vient d'être franchie : alors que je n'avais pas codé la moindre ligne en HTML depuis des mois, ce soir j'ai de nouveau installé HTML-Kit afin de mettre en forme et de publier quelques extraits d'un bouquin de Cioran.
C'est un portrait inédit de la France écrit en 1941, au coeur des années sombres dont Sylvie Pierre-Brossolette du magazine Le Point parle en ces termes :
C'est un portrait inédit de la France écrit en 1941, au coeur des années sombres dont Sylvie Pierre-Brossolette du magazine Le Point parle en ces termes : "Ce court livre, édité par L'Herne, se lit aujourd'hui avec émotion, tant les accents de lucidité et de pessimisme auxquels cet auteur nous a habitués font réfléchir sur les ressorts profonds d'un pays à la fois jouisseur et désespéré. Cet amoureux de la France, né en 1911 en Roumanie, mort à Paris en 1995, au passé sulfureux, dissèque à sa façon les grandeurs et petitesses d'une nation qui le fascine."Ces extraits sont à lire sous le titre : Le grandiose désastre français.
Extermination
J'ai lu récemment qu'Emil Cioran - j'écris parfois Émile et d'autre fois Emil - lorsqu'il se retrouvait dans la rue, confronté aux passants, un mot lui venait spontanément à l'esprit : extermination ! Je n'ai même pas besoin de descendre dans la rue pour éprouver le même sentiment : il me suffit de faire un tour sur la bloggosphere.
jeudi 16 juillet 2009
Belle journée
Il a fait beau aujourd'hui sur Montpellier. C'est à dire qu'il a fait relativement chaud - environ 30°C - avec, surtout, un niveau d'hygrométrie plutôt faible. Et, comme il soufflait un peu de vent venu du Nord, l'après-midi a été assez agréable à vivre. 
Des conditions météo suffisamment exceptionnelles pour cette région au climat pourri que je me devais de signaler. Étant donné que la ville s'est presque vidée de sa population de culs terreux prétentieux et hargneux, je ne peux que louer le ciel pour avoir vécu cette situation en tout point remarquable.
Des conditions météo suffisamment exceptionnelles pour cette région au climat pourri que je me devais de signaler. Étant donné que la ville s'est presque vidée de sa population de culs terreux prétentieux et hargneux, je ne peux que louer le ciel pour avoir vécu cette situation en tout point remarquable.
Alerte
C'est Tommy qui va être déçu, lui qui espérait assister ce soir à son premier concert. Un concert qui devait être donné par le célèbre groupe de country music Double Jack's, en plus ! I'm a creep !
mercredi 15 juillet 2009
Birdies I
Me voici encore une fois condamné à n'avoir rien à dire. Même la voix de Cat Power ne parvient pas à m'entraîner au-delà des limites de la cage dans laquelle je me tiens. Le coeur peut hurler "Free... Free..." ça ne change rien pour moi.
Mes doigts patinent lourdement sur le clavier. Le seule chose que je parviens à créer ce sont des montagnes de fautes de frappe qu'il me faut déblayer pour essayer d'avancer. Rien d'aérien, en moi ce soir. Rien de commun avec les oiseaux.
Je bute sur l'Horizon, mais les violons de Werewolf et le chant de Cat parviennent tout de même à me transporter un peu plus loin : "When I see that moon movin through the clouds in the sky, I get a crazy feelin an I wonder why..."
Mes doigts patinent lourdement sur le clavier. Le seule chose que je parviens à créer ce sont des montagnes de fautes de frappe qu'il me faut déblayer pour essayer d'avancer. Rien d'aérien, en moi ce soir. Rien de commun avec les oiseaux.
Je bute sur l'Horizon, mais les violons de Werewolf et le chant de Cat parviennent tout de même à me transporter un peu plus loin : "When I see that moon movin through the clouds in the sky, I get a crazy feelin an I wonder why..."
mardi 14 juillet 2009
It's a beautiful day
24 morceaux de The Eels - Essential Eels Vol 1 1996-2006 - défilent régulièrement et en douceur sur les deux HP qui délimitent l'espace de travail centré sur le PC. L'excellent Mr. E's Beautiful Blues est en train de tourner, propulsé par Foobar 2000, alors que j'entends dans le fond, venant des fenêtres ouvertes, les détonations des feux d'artifice qui doivent éclater, au loin, du côté du centre de la ville.
"Goddamn right it's a beautiful day / Goddamn right it's a beautiful day", sauf que ces détonations en fond sonore, ça parasite la musique et ça commence à me gonfler.
"Goddamn right it's a beautiful day / Goddamn right it's a beautiful day", sauf que ces détonations en fond sonore, ça parasite la musique et ça commence à me gonfler.
Ecrire
Ce matin, je me suis réveillé avec des bribes de rêve en tête : j'écrivais des pages et des pages, sans interruption, et toutes les vingt-cinq pages, je sélectionnais deux ou trois phrases qui sonnaient bien.
Ensuite, je mettais ces phrases de côté en me disant qu'elles pourraient entrer dans la composition d'un billet pour Horizon. Puis je continuais d'écrire, sans arrêt, indéfiniment, en ne faisant de pause que le temps d'une nouvelle sélection.
Ensuite, je mettais ces phrases de côté en me disant qu'elles pourraient entrer dans la composition d'un billet pour Horizon. Puis je continuais d'écrire, sans arrêt, indéfiniment, en ne faisant de pause que le temps d'une nouvelle sélection.
dimanche 12 juillet 2009
82 P
Comme je n'avais pas grand chose à faire, j'ai remonté le fil chronologique de ce blog jusqu'au 1er Février 2009, date à laquelle j'ai inscrit le premier post sur Horizon. Suivre les méandres par lesquelles est passé ce blog est quelque chose d'assez amusant - en tout cas pour moi. Car c'est un moyen de retracer des événements que j'avais fini par oublier, même s'ils n'excèdent pas, dans la durée, l'année en cours.
J'ai retrouvé avec le sourire un billet intitulé Crise sur lequel j'ai noté la phrase suivante : "J'aime entendre, en fond sonore, les voix geignardes du bon peuple français qui s'apprête à mourir de faim, dans les mois à venir. C'est pathétique."
Avec un certain étonnement, je me suis rendu compte que 81 posts précédaient celui-ci. Je n'imaginais pas avoir publié autant de textes et d'images sur ce blog.
J'ai retrouvé avec le sourire un billet intitulé Crise sur lequel j'ai noté la phrase suivante : "J'aime entendre, en fond sonore, les voix geignardes du bon peuple français qui s'apprête à mourir de faim, dans les mois à venir. C'est pathétique."
Avec un certain étonnement, je me suis rendu compte que 81 posts précédaient celui-ci. Je n'imaginais pas avoir publié autant de textes et d'images sur ce blog.
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