vendredi 11 janvier 2013

Cloud Number Nine

Le 19 décembre, j'ai ouvert un douzième Tumblr dont j'ai complètement refait le design en le simplifiant au maximum, en éliminant tout ce qu'il me semble superflu sur un photos-blog : titres, légendes, dates, etc.. Après l'avoir baptisé, j'en ai interdit l'accès publique par un mot de passe que seule BBL connaissait. Et puis, je ne m'en suis plus occupé. Cette semaine, j'ai passé pas mal de temps à choisir et retailler des images au format carré en puisant dans les archives photos classées sur le disque dur. Elles étaient destinées à être publiées sur ce douzième micro-blog. Aussi, toutes ont été retravaillées avec Photoshop. Une fois mises en ligne, BBL, qui a pu voir les premières images publiées, m'a félicité en m'encourageant à développer ce site. A l'heure qu'il est, plus d'une quarantaine d'images y sont affichées. Comme je suis assez satisfait de ce que j'ai réalisé, et, parce que je crois que ça ne nuira pas à ma fonction narcissique, j'ai décidé de rendre publique l'accès à Cloud Number Nine. Pourquoi un tel titre ? Peut-être en hommage à une vieille ruine, mais parce que défilait sur Foobar 2000, au moment de créer l'intitulé, un vieux tube à la guimauve de Bryan Adams.
We can watch the world go by
Up on cloud number nine

jeudi 3 janvier 2013

Hibernation

BBL est repartie en milieu d'après-midi. Pour elle, les vacances sont finies. Mes animaux et moi, nous vivrons sans la présence réconfortante de BBL pendant un mois. Dans la soirée, nos territoires respectifs ont été redélimités. Demain, la routine quotidienne reprendra, les siestes seront un peu plus fréquentes, et sûrement un peu plus longues. Mes animaux et moi, nous entrerons véritablement dans la période d'hibernation d'ici peu de temps, c'est-à-dire, dès que j'aurais fait suffisamment de ravitaillement pour ne plus avoir à dépenser d'énergie en mouvements inutiles, comme ouvrir et fermer la porte d'entrée de l'appartement, ce qui cause inévitablement des courants d'air froid et toujours un peu d'anxiété : un chien ou un voisin pourrait être tenté d'empiéter sur notre propriété sacrée. Pour vivre heureux, vivons cloîtrés.

Freddy

Freddy est mort aujourd'hui, à midi.

mardi 1 janvier 2013

SMS

Je n'ai pas eu besoin de faire la moindre recherche, il suffisait d'ouvrir le site de n'importe quelle feuille de chou pour avoir la précieuse information : "Selon des chiffres rassemblés par le ministère auprès des opérateurs et communiqués à 5h, Orange a totalisé 116 millions de SMS (messages écrits) et 4,28 millions de MMS (messages multimédia), SFR 121 millions de SMS et 3 millions de MMS, Bouygues Télécom 67 millions de SMS et 1,84 millions de MMS et Free 32 millions de SMS." Bizarrement, pour ce jour de l'an, je n'en ai reçu aucun et BBL n'en a pas eu plus. Un miracle nous a permis de passer sans encombre au travers du nuage numérique fait d'un milliard de SMS toxiques expédiés en France durant la nuit.

1.193

"Un total de 1.193 véhicules ont été incendiés en France pendant la nuit de la Saint-Sylvestre, dont 344 par propagation." Hier, je pensais aux publications des chiffres records de SMS, mais j'avais oublié de parler du marronnier des voitures cramées qui fait le joie des journalistes au boulot dès le 1e janvier. C'est un excellent prétexte pour passer un mp3 qui sommeillait dans les entrailles de mon serveur depuis des lustres :
Trouble in the country by Corb Lund.   Happy new year !

lundi 31 décembre 2012

Animal

Animal de Neon Trees pour passer l'imperceptible limite entre deux années, séparation aussi absurde qu'arbitraire inscrite au calendrier. Demain matin, toute la presse, fière d'elle-même, diffusera en première page le nombre record de SMS expédiés dans la nuit. Putain de civilisation !

2012 Fin


2012, une année ni bonne, ni mauvaise qui s'achève par une journée ensoleillée et des températures relativement douces.

mercredi 26 décembre 2012

Souriez !


Amazon a tenu sa promesse : livrer en un seul jour ouvrable. Ce matin, alors qu'il n'était pas encore 10:00 heure, un livreur m'a remis un colis. La commande passée, lundi, par BBL était arrivée dans les temps. Le petit colis m'était destiné. En l'ouvrant, à ma grande joie, je découvrais en verre et en métal un Nikon 1 J2 que je n'avais jamais vu autrement que via l'écran du PC, sous la forme .jpg. Ce magnifique objet a parfaitement trouvé sa place en compagnie de ses trois parents : l'ancêtre, un Nikon F2, le vieux, un CoolPix 4500, et le jeune adulte, un CoolPix S8000. Dommage que le petit cousin, Canon Ixus 500 ait rendu l'âme depuis si longtemps. Nos animaux étaient en joie. Toute la journée, ils ont défilé face à l'objectif du J2, se précipitant ensuite vers l'écran du PC pour commenter les clichés. Souriez ! Cheese !

mardi 25 décembre 2012

Un arbre

Depuis que je suis adulte, j'ai eu 35 fois l'occasion d'acheter un arbre de Noël, mais, n'en voyant pas la nécessité, je ne l'ai jamais fait. Et, je crois même que jamais je n'ai envisagé réellement de faire un tel achat, que cette idée ne m'a jamais effleuré l'esprit. Sauf, cette année. Comme BBL — absente de la maison pendant 47 jours — rentrait samedi, je suis allé la veille faire quelques courses. En sortant du supermarché, j'ai aperçu dans un coin du parking de jeunes conifères coupés et entassés, prêts à la vente. En voyant ces arbres, j'ai pensé à Saki qui n'a jamais eu la possibilité de grimper sur un tronc, de sauter de branche en branche, de hurler sa joie du haut d'une cime, puisque cet animal n'a jamais eu rien d'autre que les rideaux, les étagères, les tables et bureaux, les Towers faites de plusieurs étages de toile tendue sur des tubes en PVC, le frigo, les rambardes du balcon pour prendre de la hauteur. L'année dernière, à son arrivée dans l'appartement, un philodendron de plus d'un mètre vivotait dans un coin, mais j'ai du mettre cette plante au rencard, car Saki en déchiquetait les feuilles qu'il mâchouillait ensuite. Or, le philodendron est toxique. C'était d'ailleurs la seule plante de l'appartement, et, mis à part les pots d'herbe à chat, Saki ne sait donc presque rien d'autre du règne végétal, sinon pour avoir pris connaissance de l'existence de quelques fruits et légumes. Il aime les feuilles qui se mangent en salade — la mâche en particulier. Bien sûr, il déteste les oignons, ainsi que les bananes. Tout ça, c'est bien joli, mais ça ne vaut pas la proximité d'un arbre. C'est pourquoi, vendredi dernier, en voyant des sapins proposés à la vente, pour la première fois de ma vie, j'ai pensé en acheter un, histoire de faire plaisir au plus jeune de mes animaux. Je ne l'ai pas fait parce que j'étais assez pressé, mais depuis je le regrette un peu. J'irai bientôt dans une pépinière me renseigner sur les possibilités de faire pousser rapidement un arbre en appartement. Un eucalyptus, par exemple.

jeudi 20 décembre 2012

Rédaction et réflexions

Demain à 11:11:37 AM UTC nous passerons en hiver. A moins que, d'ici là, il ne me reprenne l'envie d'écrire pour Horizon, je pense pouvoir affirmer que je suis en train de rédiger le dernier billet de l'automne 2012. Pour l'instant, c'est Cockroach, du blues joué par Albert King qui rythme mon activité, viendra ensuite la ballade de Coco Rosie, Good Friday, et avant même que je ne sois arrivé à la fin de ce billet, passera une autre ballade : Creep des Stone Temple Pilots, un groupe que j'écoute avec toujours autant de plaisir depuis près de 20 ans... 20 ans ? Incroyable ! Pour accompagner la fabrication de posts qui ne demandent presque aucune réflexion, j'ai composé une playlist sur Foobar 2000 avec des morceaux ni trop lents, ni trop bruyants. Lorsqu'il me faut un niveau de concentration un peu plus élevé, j'ai une playlist faite de musique instrumentale, afin de ne pas être distrait par les paroles. C'est en grande partie de la musique electro, tel que Dry de Rain Dog ou bien Kickshaw de Thrupence, pas mal de jazz aussi et quelques morceaux de musique classique. Mais comme ces genres de musique ne sont pas ceux que je préfère, on comprendra aisément pourquoi le niveau de réflexion, lié à la rédaction de mes billets, plafonne si souvent à l'échelon le plus bas. C'est la faute au Rock & Roll !

vendredi 14 décembre 2012

Flickr 800


Trois planches numériques dessinées dans l'après-midi et postées sur Synapsida. Je les ai rajoutées aux quelques planches, réalisées au cours de ces mois derniers, sur Flickr. Par coïncidence, cet ajout a fait passer le compteur, qui totalise le nombre d'images chargées sur cette plate-forme, à 800. Un chiffre pas très élevé, compte tenu du fait que la première image mise en ligne sur ce site date du 9 avril 2005. Je publie donc, en moyenne, une centaine d'images par an, ce qui est relativement peu, comparé à certains comptes bien plus récents qui affichent des milliers d'images : il est fréquent de voir des membres de Flickr vider en ligne le contenu de leur caméra sans opérer le moindre tri préalable. De plus, j'ai laissé ce site à l'abandon pendant deux années consécutives. J'ai recommencé récemment à publier sur Flickr, mais je ne fais pas la promotion de mes images et je ne corresponds plus avec mes anciennes connaissances. Flickr appartient désormais au passé.

jeudi 13 décembre 2012

Capture d'écran

366e post. Une journée nullissime ! La seule chose que je peux compter, comme activité créatrice, est la capture d'écran d'une page complète faite sur mon profil Google+. Après avoir découpé cette image en 60 morceaux de 451×838 pixels, j'ai rassemblé le tout, dans le bon ordre, sur mon serveur et je l'ai publiée. Voilà... Pas la peine de crier au génie !

mercredi 12 décembre 2012

12|12|12 Et alors ?

A l'occasion du 11|11|11, j'avais trouvé quelque chose à dire. Un an et un mois auparavant, pour le 10|10|10, j'avais aussi réussi à inscrire quelques mots. Mais ce 12|12|12 ne m'inspire absolument rien. Je note avec soulagement qu'il n'y aura pas de 13|13|13, ce qui, l'année prochaine, me dispensera de me creuser la tête inutilement.

lundi 10 décembre 2012

mercredi 5 décembre 2012

Take Five

Chose inhabituelle, il y a deux jours, j'ai pris plaisir à écrire. J'ai passé une heure ou deux, dans l'après-midi, à rédiger un Poème à la con. Je m'en suis si bien sorti avec ce texte que j'ai récolté des encouragements. C'est vraiment un événement qui fera date dans ma vie de blogueur. J'imagine que ça ne se reproduira pas avant une éternité. Aujourd'hui, à Norwak dans le Connecticut, Dave Brubeck est mort. Il avait 91 ans. Take Five, peut-être le morceau le plus célèbre de ce pianiste, me ramène au temps des origines, parce qu'il servait d'indicatif à une émission quotidienne de la R.T.M. [S.N.R.T] que tout le monde, à cette époque, écoutait sur la gamme d'ondes "Moyennes fréquences", faute de pouvoir écouter clairement une autre radio, puisqu'il n'y en avait pas d'autre. Ou, du moins, pas d'autre station qui puissent être captée avec une bonne réception. Mises à part les bases américaines, qui émettaient en F.M. dans un très court rayon, il était impossible d'écouter une station radio, autre que la radio nationale, sans perdre régulièrement le son qui, de plus, était parasité par un bruit difficilement supportable dans la journée et légèrement moins la nuit quand les conditions atmosphériques étaient suffisamment bonnes. Alors il n'était pas rare d'entamer les après-midi avec Take Five annonçant, à 2:00 PM, le début d'une émission qui durait jusqu'au soir. Une émission qui s'est répétée pendant des années sans que l'indicatif ne soit une seule fois différent. Take Five était devenu inséparable des premiers moments de l'après-midi.

lundi 3 décembre 2012

Le dépassement


2012 touche presque à sa fin. J'hésite à me conformer aux exhortations de mon Surmoi, qui incite mon Moi au dépassement de Soi — très en vogue en ces temps de consciences troublées — en lui répétant régulièrement qu'il suffit juste de casser les barrières, que tout est possible. Mon Surmoi, contaminé par les débilités du Coaching, incontournable religion quand on fréquente le Web, veut me faire rédiger une centaine de billets afin de publier, avant la fin de l'année, plus que je ne l'ai fait en 2009. Depuis hier, mon Moi essaye de faire entendre à mon Surmoi qu'il me suffirait d'écrire une dizaine de billets, au cours de ces quatre prochaines semaines, pour dépasser le nombre de publications faites en 2010, et qu'ainsi, le fameux dépassement de Soi serait réalisé. Mon Moi tente de rappeler à mon Surmoi qu'il a pour tâche d’éviter les débordements impulsifs de mon Ça. Mon moi soupçonne ce dernier de tenter de corrompre l'intégrité de mon Surmoi en le poussant à lire en ligne Closer, Public, Gala, Psychologie Magazine et même Le Nouvel Observateur. Je suis donc pris, depuis hier, dans ce conflit, alors que ce que j'aimerais vraiment dépasser, c'est le nombre d'heures de sommeil beaucoup trop limitées ces derniers jours. Ce déficit me pousse à écrire n'importe quoi, incapable de mettre en oeuvre un billet qui ferait réellement sens sur Horizon.

samedi 1 décembre 2012

Heccéité

Il est de plus en plus difficile d'avoir une adresse, sur Blogger ou Tumblr, composée d'un seul mot ayant une signification en langue française. Pour avoir un blog en réserve, avec une belle adresse, j'ai cédé à la tentation d'ouvrir un nouveau micro-blog avec l'URL suivant : hecceite.tumblr.com. Heccéité est un néologisme formé par Deleuze ou Guattari pour traduire le Dasein [être-là] cher au phénoménologue allemand, Heidegger. Inutile de chercher à ouvrir un blog ayant pour adresse dasein — évidemment, plus simple à écrire que hecceite —, car, sur Blogger et Tumblr, l'URL est déjà utilisé. J'ai parfois mis beaucoup de temps à trouver un signifiant ordinaire pour avoir une adresse facile à mémoriser. Il y a quelques mois, j'ai été très surpris d'avoir pu ouvrir des micro-blogs avec des mots aussi courants que semaine.tumblr.com, sept.tumblr.com, ou capricorne.tumblr.com, par exemple, alors que la plate-forme Tumblr a déjà quelques années d'existence. Bref... Une fois Heccéité ouvert, un template soigneusement mis en forme, il me fallait y coller un peu de contenu, histoire de donner à ce micro-blog un peu d'épaisseur. Mais, pour le moment, Heccéité n'est pas bien gras. Ce rachitisme s'explique facilement : il n'est en ligne que depuis le 22 novembre, alors qu'à ce jour, j'ai déjà beaucoup de blogs à nourrir — 21 Blogger et 11 Tumblr. Il m'a d'ailleurs fallu laisser mourir d'inanition une dizaine de Blogger et deux ou trois Tumblr. Aussi, je ne sais pas si Heccéité survivra longtemps. ¡Ya lo veremos!

mardi 27 novembre 2012

Tranches de Verbe

Il est temps de me payer une petite tranche de Verbe. Je peux le faire sans arrière pensée, sans crainte pour ma santé, parce qu'il est peu probable que, contrairement à certains bloggers, le Verbe puisse me rende obèse. Je suis assez content de moi, car, ces derniers jours, je n'ai pratiquement pas perdu mon temps en traînant sur les réseaux sociaux, ou plus exactement sur Google Plus, puisque c'est désormais le seul réseau que je fréquente. Dans le registre de mes fréquentations, je pourrais aussi prendre en compte Flickr, mais je ne le ferai pas parce qu'il y a bien longtemps que je n'entretiens plus aucune relation avec les membres de cette plate-forme. Je me contente d'y stocker quelques photos : une façon supplémentaire de les sauvegarder. Ces derniers jours, j'ai surtout passé du temps à lire après avoir copié plusieurs articles sur Cairn que j'ai transformés en epub pour les transférer sur mon e-reader. Le week-end s'est donc déroulé sous le signe de la lecture avec :
  • Penser l’ouverture au monde... et la participation sociale des sujets « en situation de handicap psychique »
  • La métaphore et le linguiste Giono, « un rêveur des montagnes »
  • Musil et Emerson : les mots que nous citons
  • L’Homme sans qualités et le « dixième caractère » : Musil lecteur d’Emerson
  • La description expérimentale chez Balzac et Musil
  • Eléments d’analyse : l’autobiographie de Michel Leiris
  • L’extase déchiffrée
Bien entendu, pour le bonheur de mes animaux, j'ai lu à haute voix quelques passages de ces articles. Ils ont été particulièrement attentifs à la lecture de « Penser l’ouverture au monde... » qu'ils m'ont d'ailleurs demandé de lire d'un bout à l'autre. Cet article les a littéralement emballés. Aussi, Pat, qui prenait des notes pendant que je lisais, m'a dit qu'il ne tarderait pas à écrire un mail à l'auteure afin de la féliciter pour son excellent travail. Ainsi, le week-end s'est très bien passé. Mes animaux et moi, nous avons eu matière à d'intéressantes discussions. Bien plus intéressantes que les maigres échanges de commentaires sur les réseaux sociaux. Hier et aujourd'hui, nous sommes restés silencieux, préférant méditer sur tout ce que nous avions pu tirer des ces articles et de nos conversations. Ce soir, j'ai utilisé Pixia pour faire deux nouvelles planches que j'ai ensuite publiées sur Semaine. BBL a donné son cours hebdomadaire dans l'après-midi. Mais ensuite, elle n'a pas trouvé la force de travailler à son projet de recherche. Elle est rentrée fatiguée. Elle a hâte de nous rejoindre pour participer à nos élucubrations, et de se payer, en notre compagnie, quelques petites tranches de Verbe. Vivement les vacances !

vendredi 23 novembre 2012

jeudi 22 novembre 2012

Schnoo


Voilà, aujourd'hui, deux ans que Schnoo a trouvé refuge au 205. Deux années de vie paisible, sans avoir à revivre le mauvais temps, la faim, la soif, la peur, les douleurs et les angoisses liés à la difficile existence de chat errant. Schnoo, qui a eu un peu de mal, les premières semaines, à s'habituer à la vie en appartement, s'est depuis refait une santé, tout en devenant beaucoup moins craintive qu'elle ne l'était auparavant. Schnoo vit maintenant sa vie tranquillement et passe beaucoup de temps à dormir, son petit ventre blanc toujours bedonnant. Longue vie à ma jolie Schnoo !

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