jeudi 28 novembre 2013

Pauvre Swann

« Dire que j’ai gâché des années de ma vie, que j’ai voulu mourir, que j’ai eu mon plus grand amour, pour une femme qui ne me plaisait pas, qui n’était pas mon genre ! » Hé oui, Swann ! Combien de benêts, comme toi, se sont endormis dans l'un des wagons du train de l'Illusion, pour se réveiller, quelques milliers de kilomètres plus tard, et constater avec horreur qu'ils avaient ratée la gare où, depuis longtemps déjà, ils auraient du descendre ? Hier, dans la nuit, j'ai fini Un amour de Swann, plus vivant que Combray — le volume précédent —, mais qui reste quand même une lecture assez soporifique, dans son ensemble. Il y a bien chez Proust des passages captivants, particulièrement ceux où le narrateur donne libre cours à sa langue de pute parfaitement aiguisée, pourtant, après avoir lu ces deux premiers textes, je pense maintenant que Roland Barthes était dans le vrai : « Le grand plaisir, avec Marcel Proust, c’est qu’à chaque fois qu’on le relit, on saute des passages différents. » En effet, sauter des pages est le seul moyen d'avancer réellement dans la lecture d'un roman du célébrissime Marcel et d'avoir ainsi une chance d'atteindre la dernière ligne, sans trop éprouver la triste impression d'être en train de perdre son temps.

vendredi 22 novembre 2013

Schnoo


Ce soir, nous célébrons, en toute intimité, le 3e anniversaire de l'arrivée de Schnoo au 205. Trois belles années vécues dans la sérénité, si l'on excepte les petits accrochages, relativement rares, avec Pat et Saki, au sujet des limites territoriales quelques fois transgressées. Trois belles années, malgré tout. Schnoo se prépare pour le bal. Elle dansera toute la nuit. Saki est en train de choisir la musique Come on Baby, turn around!

jeudi 21 novembre 2013

Massacre

Les jardiniers, race d'abrutis dotés d'une cervelle dont le volume est sensiblement le même que celle d'un footballeur ou d'un touriste, ont, ce matin, massacré l'arbre qui pousse dans le parc, juste en face de mes fenêtres, et dont les branches s'élevaient plus haut que le balcon de l'appartement dans lequel je passe le plus clair de mon temps. Je ne dis pas "chez moi", parce qu'ici, comme ailleurs, je n'ai pas de "chez moi". "Chez moi" est un pays qui n'existe pas : un pays sans jardiniers, sans footballeurs et sans touristes. Je me demande comment cet arbre va bien pouvoir survivre, maintenant qu'il ne lui reste plus que deux malheureuses branches. Je suppose que ces abrutis de jardiniers auront bientôt un bon prétexte pour définitivement abattre cet arbre, en s'étonnant qu'il soit déjà moribond, alors qu'il n'a qu'une trentaine d'années. Connards !

lundi 18 novembre 2013

Rien


Je n'ai pas réduit ma consommation de café, je ne l'ai d'ailleurs pas augmentée, elle reste stable, alors que la production de billets pour mes blogs est réellement en chute libre. Je vois dans ce phénomène, qui n'a rien d'extraordinaire, le fait qu'en ce moment, je suis replié dans un univers de pensées orné de réflexions qui ne peuvent pas être rendues publiques, parce qu'elles n'intéresseraient vraiment personne, et qu'il y a déjà trop peu de monde qui s'intéresse à ce que je peux écrire. Publier quelques phrases donne quand même l'illusion de s'adresser à une intelligence quelconque, procure le sentiment de ne pas simplement monologuer, à longueur de temps. Certes, ce n'est pas aussi satisfaisant que de parler à mes animaux, qui représentent, pour moi, d'authentiques interlocuteurs, mais c'est une sorte de supplément à nos passionnantes conversations. Si, exceptés mes animaux, je ne parle jamais à personne où presque, c'est parce qu'il est généralement plus intéressant de parler à un mur, qui peut parfois renvoyer un écho, plutôt que de s'adresser à un quadrupède humain doté d'une cervelle tellement poreuse et inconsistante qu'il est alors impossible d'avoir le moindre retour sous forme de langage plus ou moins bien articulé. Et comme, je n'aime pas perdre mon temps, déjà dûment rempli par le foisonnement de mon courageux et infatigable intellect toujours prêt à déconstruire le monde, pour en examiner les rouages et en comprendre toute la complexité du fonctionnement, je m'abstiens le plus souvent de faire part de mes opinions qui, forcément, resteront incomprises du public. Non, je n'ai pas rien à dire, rien à écrire, mais ce que je ne veux surtout pas, c'est me fatiguer pour rien. D'où le faible volume de mes publications.

dimanche 17 novembre 2013

Insociabilité

Il a plu une bonne partie de la journée. Il ne fait pas vraiment froid, mais mes animaux fréquentent les radiateurs avec de plus en plus d'assiduité. Ils s'entraînent régulièrement pour opérer, tout en douceur, un passage en mode hibernation continue. J'ai fini la lecture des Aphorismes sur la sagesse de Schopenhauer, dans le courant de l'après-midi. Une lecture qui me renforce dans l'idée que je suis sur la bonne voie :
« L'homme intelligent aspirera avant tout à fuir toute douleur, toute tracasserie et à trouver le repos et les loisirs ; il recherchera donc une vie tranquille, modeste, abritée autant que possible contre les importuns ; après avoir entretenu pendant quelque temps des relations avec ce que l'on appelle les hommes, il préférera une existence retirée, et, si c'est un esprit tout à fait supérieur, il choisira la solitude. Car plus un homme possède en lui-même, moins il a besoin du monde extérieur et moins les autres peuvent lui être utiles. Aussi la supériorité de l'intelligence conduit-elle à l'insociabilité. »

samedi 16 novembre 2013

Patience

Depuis près de 200 000 ans, date de l'avènement de l'Homo sapiens idaltu, on n'a toujours pas inventé la levure qui permettrait aux cerveaux plats et ratatinés, dont est dotée l'immense majorité des quadrupèdes humains, de gonfler. C'est regrettable. Depuis deux ou trois jours, la connexion ADSL, qui me permet — entre autres — de publier des billets, tel que celui-ci, ou des photos sur le Web, telles que celles-ci ou celles-là, est complètement rétablie. Je n'ai même pas eu à intervenir pour cela. Il m'a simplement fallu patienter. Comme je patiente encore en espérant que l'hiver s'installera bientôt, sachant que les petits cerveaux plats et ratatinés resteront cloisonnés, à cause du mauvais temps, dans les appartements et auront donc moins tendance à beugler comme des cons, la nuit, sur les balcons.

dimanche 10 novembre 2013

Connexions

Depuis près d'un mois, je me connecte à l'Internet de façon aléatoire, quand la ligne ADSL fonctionne. Comme elle ne fonctionne que par intermittence et ne m'autorise à surfer que rarement plus de quelques minutes d'affilée, je me contente la plupart du temps de consulter mes mails, c'est-à-dire les newsletters, puisqu'il y a bien longtemps que plus personne ne m'écrit. Je n'ai pas l'intention de faire réparer la ligne, car ce dysfonctionnement m'oblige à passer moins de temps sur l'Internet, ce qui n'est pas une mauvaise chose, sachant que cela me permet d'avoir plus de temps pour des activités souvent bien plus intéressantes — la sieste, en particulier — que celle qui consiste à surfer sans but précis sur le Web. Malgré tout, j'ai pu alimenter en images quelques photoblogs, tels que GTK 751, CNN ou LLIDS, lorsque la ligne a fonctionné suffisamment longtemps sans interruption, permettant alors des publications. Ce qui est sûr, dorénavant, c'est que, connexion ADSL stable ou pas, je ne peux plus me permettre d'entretenir une myriade de blogs. Et s'il m'a fallu déjà en négliger un bon nombre, je vais faire en sorte de concentrer mon activité sur une poignée de sites et laisser définitivement le reste à l'abandon, peut-être même aller jusqu'à les écraser. Je sais, c'est triste, mais c'est nécessaire. Bien entendu, Horizon et GTK 751 survivront, ainsi que CNN ou peut-être LLIDS. Pour le reste, nous verrons.

samedi 2 novembre 2013

Pasa la vida



BBL était redescendue à Montmerdier samedi dernier. Elle est repartie dans l'après-midi. Nous n'avons passé que très peu de temps ensemble, puisque, le lendemain de son arrivée, dans la matinée, je quittai Montmerdier et prenais l'autoroute en direction du Pays Basque. Je n'en suis revenu qu'hier. BBL aura donc vécu une semaine en compagnie de nos animaux. Ce soir, les animaux sont tristes de ne plus avoir BBL à leurs côtés. Pasa la vida.

Y pasa la vida, igual que pasa la corriente cuando el río busca el mar y yo camino indiferente, donde me quieran llevar.

jeudi 24 octobre 2013

Activité restreinte


Seulement deux billets écrits pour Horizon au cours de ce mois d'octobre. C'est très peu. Pour autant, moins d'une poignée de billets publiés, sur une période d'un mois, n'est pas à considérer comme un fait exceptionnel ; il suffit de consulter les archives de ce blog pour s'en rendre compte. Je n'ai donc pas d'inquiétude à avoir, suite à cette remarque. Étant donné que je serai absent de chez moi, la semaine prochaine, il est d'ores et déjà certain qu'en ce mois d'octobre je ne battrai pas un record de publication. C'est surtout GTK 751 qui, ce mois-ci, a bénéficié du meilleur temps que j'ai pu accorder au développement de mes blogs, avec 40 images publiées. J'ai mis en ligne, dernièrement, d'autres images sur La Lumière Incertaine du Souvenir et Simulacres. Quelques autres encore sur Cloud Number Nine. J'ai même fabriqué 9 planches pour TTTTL. Je n'ai donc pas été totalement inactif, mais je ne suis pourtant pas très satisfait de mes publications ; non pas qu'elles soient moins de moins bonne qualité que celles publiées précédemment, mais parce que le coeur n'y était pas vraiment. J'ai alimenté ces blogs presque de façon automatique, routinière, par habitude. Cet état d'esprit changera peut-être à mon retour du Pays Basque où je ne suis pas rendu depuis 22 mois, presque deux ans, déjà. Presque deux ans, aussi, que je n'ai pas quitté Montmerdier. Jamais je ne m'étais fixé si longtemps sur une aire géographique aussi restreinte et pourrie.

vendredi 18 octobre 2013

A quoi bon ?

C'est régulier, à une période ou une autre, j'en arrive toujours à me demander s'il ne serait pas temps de mettre définitivement fin à cette manie qui consiste à créer des textes — insignifiants — afin d'alimenter mes blogs, dont celui-ci, en particulier. Ce questionnement survient généralement quelques jours après m'être déshabitué à produire des billets, car, contrairement à ce que prétendent les auteurs de littérature exigeante, cette espèce de pseudo écrivains foisonnante sur le Web francophone, écrire est loin de représenter une nécessité favorisant le sentiment d'exister. C'est plutôt, à mes yeux, une façon d'employer paisiblement des moments perdus, comme d'autres font du tricot, du macramé, des sudokus ou des mots croisés. Pour écrire véritablement, il faut avoir quelque chose à dire et très peu de gens ont réellement quelque chose à dire. Seule une infime partie des quadrupèdes humains a quelque chose de vraiment intéressant à dire ; elle seule est en mesure de produire des textes qui valent la peine d'être lus, des textes qui entreront sans ambiguïté dans la catégorie Littérature. Le reste relève de l'information insipide et du divertissement plus ou moins stupide. Et le discours sera d'autant plus stupide que l'auteur pensera pouvoir échapper facilement à la bêtise en se faisant de terribles illusions sur l'importance de ce qu'il aura à exprimer. Tout cela pour noter que, dans la fabrication de billets, qui demande pourtant une certaine régularité, chaque interruption prolongée m'amène à cette réflexion : « À quoi bon ? » « Oui ! À quoi bon ? » me demandent mes animaux qui pensent que je ferais mieux de faire la sieste avec eux, car, de leur point de vue, cela serait bien plus utile, puisque, même sans être pris par la fièvre de l'écriture, mon corps dégage une température constante de 37°C, soit un bon moyen de chauffer le lit. Ce qui, en ce début d'automne, n'est certainement pas désagréable pour ces paresseux félins frileux. Je ne leur donne pas tort : la sieste est certainement une activité bien plus noble et digne d'intérêts que la fabrication d'un blog, soit l'interminable production d'un discours inepte.

jeudi 3 octobre 2013

Bureau

J'ai réaménagé la chambre et fait en sorte que le bureau qui s'y trouvait, et que j'avais retiré, soit remis en place. J'ai surtout voulu qu'il devienne un peu plus sûr — il menaçait en permanence de s'écrouler — et un peu plus fonctionnel. Je pensais qu'une fois cette opération effectuée, j'allais m'y attabler et noircir à l'encre des pages et des pages de cahier. Je n'ai pas pu produire un mot. Aussi, pour me consoler, j'ai fait deux photos.

jeudi 26 septembre 2013

Jour de deuil

Mon père est mort à Saint Jean de Luz, ce matin, un peu avant onze heures. Il était né au mois d'avril en 1933. Il a très bien vécu.

dimanche 22 septembre 2013

Nous y sommes


Ici, sur Montmerdier, la nuit ne va plus tarder à s'installer. Dernières lueurs du jour dans un ciel d'été. Nous seront en automne d'ici environ deux heures, à 10:44:08 PM CEST, exactement. BBL et moi, nous manquons vraiment de sommeil ; BBL, particulièrement. La vie n'est pas toujours facile. L'automne apportera un vent plus frais, un air bien plus favorable.

samedi 21 septembre 2013

Fin d'été

Dernier jour de l'été, le jour que j'attendais, plus où moins patiemment, depuis 2000 ans. C'est fait, nous y sommes presque : demain commence l'automne chargé des meilleures promesses. BBL, nos animaux et moi, nous retrouvons bientôt toute la sérénité perdue, on ne sait où, au cours de ce putain d'été. Do you remember ?

mardi 17 septembre 2013

Zéro

J'ai fini, il y a deux jours, la Trilogie New Yorkaise de Paul Auster. Un très bon roman. Comme, depuis, je n'ai pas encore entamé d'autre ouvrage, je suis revenu sur un roman de Bret Easton Ellis, abandonné au bout de quelques chapitres, le mois dernier, en me disant que je m'étais peut-être trompé quant aux qualités littéraires de Luna Park. J'ai donc poursuivi sur deux où trois chapitres supplémentaires. Non, c'est illisible. Ce roman ne vaut absolument rien, à tout point de vue. Il ne permet même pas de tuer le temps, tellement c'est ennuyeux, bourré de clichés, et même de publicités : B.E.E. arrive à caser, sur chaque page, trois ou quatre marques de fringues, de voitures, d'électro-ménagers, de boissons, de chaînes d'hôtels ou de restaurants, etc.. C'est le genre de bouquins idéal pour n'importe quel débile mental gavé de série TV. C'est vraiment nul. Aussi nul que des vacances sur la côte méditerranéenne française, en plein été.

vendredi 13 septembre 2013

Paraskévidékatriaphobie

« Etes-vous paraskévidékatriaphobiques ? » C'est la question que j'ai posée, ce matin, après le petit-déjeuner, à mes animaux. « Et, toi ? » m'ont-ils aussitôt répondu. Nous avons longuement discuté la question, puis la conversation a dérivé un moment sur les superstitions, celle du chat noir qui porterait la poisse au quadrupède humain, en particulier. Nous avons tout de même fini par conclure que les vendredis 13 n'ont aucune incidence sur nos existences, pas même le fait de nous pousser à remplir une grille de loto. De toute façon, nous ne jouons jamais au loto sachant que la probabilité de gagner le gros lot est absolument infime. S'ajoute à ce refus de jouer, l'idée que nous n'avons pas réellement besoin d'argent, en tout cas, d'argent qui servirait à consommer des produits dont nous ne voyons pas la nécessité. Nous refusons, surtout, de perdre notre temps en participant à cette arnaque institutionnelle. Plus généralement, nous n’aimons pas les jeux de hasard, mis à part le 421. Alea jacta est.

lundi 2 septembre 2013

Hier, dans la nuit

Hier, dans la nuit, j'ai entamé la Trilogie New Yorkaise de Paul Auster et, donc, le premier des récits : Cité de verre. C'est très bien. Je ne sais pas combien de temps il me faudra pour finir de lire cette trilogie, car les moments que je consacre à la lecture se font presque aussi rares, bien que plus conséquents, que ceux consacrés à la rédaction de textes pour mes blogs. Même mes photoblogs sont quasiment en panne. Il m'arrive, certains jours, de ne pas faire de photos. Ce qui, pour moi, est assez inhabituel. Le seul photoblog que j'ai chichement alimenté, c'est GTK 751. L'été m'a tué.

dimanche 1 septembre 2013

Temps agréable

Temperature: 30°C | Humidity: 29% | Pressure: 1019hPa (Steady) | Conditions: Clear | Wind Direction: NNE | Wind Speed: 24km/h. Il fait encore assez chaud, bien que le soleil soit sur le point de se coucher, mais ce n'est pas désagréable puisque le vent bien sec souffle du Nord. Depuis le début de l'été, ce premier septembre est certainement la plus belle journée, sur le plan climatique, qu'il ait pu faire sur Montmerdier.

samedi 31 août 2013

En attendant l'équinoxe

Plus que 22 jours à patienter pour passer en automne, pour en finir avec l'été. Dans un peu plus d'une heure, on sera débarrassé du mois août. C'est déjà pas mal ! Le plus dur est fait. L'automne vient.

samedi 24 août 2013

Humidity: 94%

Je n'ai rien publié sur Horizon, depuis 10 jours. Je n'ai d'ailleurs rien écrit sur aucun de mes blogs, car, dans ce maudit pays, les conditions météorologiques sont tellement pourries qu'elles coupent toute envie de rédiger le moindre petit billet. Ce matin, le taux d'humidité dans l'air bat des records : Temperature: 21°C | Humidity: 94% | Pressure: 1014hPa (Steady) | Conditions: Scattered Clouds | Wind Direction: Variable | Wind Speed: 4km/h. Je ne reprendrai le clavier que lorsque la situation atmosphérique se sera améliorée. Au cours de mon existence, je ne pense pas avoir déjà vécu un été aussi merdique que celui-ci, peut-être parce que je n'ai passé, de toute ma vie, que très peu d'étés à Montmerdier. Dire qu'il y a des gens qui payent pour passer leurs vacances dans la région, et qu'ils sont prêts à se tuer sur les routes pour ça ! Putain de civilisation.

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