Bill Viola

J'ai lu un interview de Bill Viola qui vient d'être publiée sur une revue en ligne Revistadearte.com éditée en Espagne. Delphine, BBL et moi nous avions été très impressionnés en 2004 par la découverte, au Guggenheim de Bilbao, de ses installations dont Going Forth By Day et Five Angels For The Millennium. Ceci me ramène cinq années en arrière. Pasa la vida...

Sweep a Road

En cherchant je ne sais plus quel morceau de musique sur blip.fm je suis tombé sur The Stone Foxes, "a rock and roll band based in San Francisco, CA. Heavily influenced by the great rock, blues, folk and country stars of the 60s and 70s". Ce qui fut une bonne surprise parce que ces quatre types ont su parfaitement restituer un son qui a déjà 50 ans pour créer d'excellents morceaux - j'ai pu en récupérer cinq.J'aime particulièrement Sweep a road qui dit : "No, you can’t sweep a road with a broom, when your road is made of dust".
Belle métaphore, comme je les aime !

J'en ai marre

Il me faut absolument lâcher Twitter. Je ne peux pas passer autant de temps sur ce social network que ce que j'en passe en ce moment.Je dois même aller encore plus loin, en essayant de ne passer qu'une heure ou deux quotidiennement sur le Net. Je vais y arriver, c'est sûr !

Portrait

C'est terrible, je vais être obligé de raccrocher ma ligne sans avoir posté le moindre message. J'ai passé bien trop de temps ce soir à mettre en forme un auto-portrait, c'est à dire une photo prise dans le miroir de l'ascenseur, alors que je rentrais d'une balade à pied dans le quartier. Bon, évidement, c'est une image qui fait un peu peur. Ce portrait n'augmentera pas ma popularité sur la bloggosphere. Mais je ne tiens pas à ce que des cohortes de fans éplorés viennent assister à mon enterrement le jour où celui-ci aura lieu.

Allez, à demain !

HDV Peace

Il quelques instants, j'ai récupéré trois polices de caractères gratuites, dessinées par Hannes von Döhren, un Allemand qui fait du très bon travail. On les trouve sur HDV Fonts.Après les avoir testées - ici, la HDV Peace - je pense qu'il est temps de raccrocher ma ligne. A demain !

Rien à dire

Je n'ai pas grand chose à dire

Je ne sais pas quoi inscrire ce soir, étant donné que je n'ai rien à dire. C'est à dire que je ne vois rien à écrire qui puisse trouver naturellement sa place sur un post. Tout ce que je peux faire, c'est un peu de remplissage, mais ça ne mènera pas très loin. La seule chose dont je pourrais parler, c'est du souvenir d'un récit de Bruce Chatwin qui racontait qu'un des Sherpas qui les accompagnaient, je ne sais plus où, ne prenait jamais la parole sans annoncer au préalable : "J'ai quelque chose à dire".

C'est tout ce que j'ai trouvé à dire.

Doctor No

Ce soir, j'ai réinstallé Pixia. Pour tester l'installation, j'ai rapidement fait un petit collage, avec de belles couleurs chaudes. Il me faudra par la suite installer quelques plugins et fabriquer un plus grand nombre de brosses.Dans deux où trois jours, Pixia remplira de nouveau toutes ses fonctions et je me lancerai dans de nouvelles créations qui occuperont ces tristes soirées d'été. C'est ce qui me permet d'oublier que je suis cerné par un tas de cons fleuris qui s'amassent sur les balcons gris.

Tommy

Mouinti nous a posté la photo du dernier né. La famille des Stray Cats s'agrandit. Carlita est l'heureuse maman. On a baptisé ce petit chat : Tommy.Il est dans la ligné de mon petit Zorro trouvé mort empoisonné, l'année dernière. Longue vie au petit Tommy !

Opération réussie

Au réveil, le mail que nous attendions était dans la boite : il annonçait que Noé, mon petit neveu, qui a subi une opération chirurgicale, hier, à Nouméa, était sorti de la salle de réanimation. Mon frère dit qu'il a bonne mine et qu'il pourra repartir surfer à Bourail dans quelques semaines. Bravo aux toubibs ! Une bonne journée s'annonce.

Pixia

Suite au dernier formatage de la partition C:\ du HDD de mon PC, je n'ai pas remis en service tous les logiciels conçus pour le graphisme, le dessin vectoriel ou non.Je n'ai pas remis en place Expression Design, ni Adobe Illustrator ou cet excellent freeware japonais, Pixia. Je crois que c'est avec ce dernier que j'ai commencé à réaliser mes premiers collages digitaux.Il est bien possible que je réinstalle Pixia dans les jours qui viennent. Je ne vais pas m'éloigner du PC. Pas encore.

La Flûte Enchantée

Quand on est coincé ici, dans le trou du cul du monde, c'est à dire à Montpellier, on essaye de survire mentalement en imaginant qu'il existe d'autres endroits sur la planète où l'air est un peu plus respirable. Heureusement, sur France-Musique, il passait La Flûte Enchantée joué par l'Orchestre Philharmonique de Berlin dirigé par Sir Thomas Beecham. Ça m'a permis de supporter un peu mieux l'après-midi.

Mon Enfant de Berlin

Quelques extraits, publiés en huit épisodes, de "Mon Enfant de Berlin" paraîtront dans Le Temps. Anne Wiazemsky raconte la rencontre de sa mère, Claire, fille de François Mauriac, avec un jeune officier dans une Allemagne dévastée.

Dans le premier épisode, en septembre 1944, Claire, ambulancière à la Croix-Rouge française, se trouve encore à Béziers avec sa section. Elle a vingt-sept ans, c’est une très jolie jeune femme avec de grands yeux sombres et de hautes pommettes slaves.Dans son journal, elle note :
"Pendant des jours et des jours, les convois allemands sont passés à Béziers. Nous, nous continuions nos missions sur des routes encombrées. Assise sur l’aile de la voiture, j’interrogeais le ciel. Plusieurs fois nous avons été prises dans d’énormes convois. Il nous était impossible d’en sortir, sauf quand les avions étaient au-dessus de nous, car la colonne s’arrêtait au bord de la route. Les Alliés ont souvent mitraillé, mais jamais au-dessus de nous. On comprenait ce qui se passait à la figure des Allemands et à leurs voitures en feu."

Stop

J'ai commencé à aménager un autre Twitter sur lequel j'ai choisi de ne pas avoir d'interlocuteur : ça m'évitera les discussions. Je pense que c'est la meilleure solution pour passer moins de temps sur ce social network. Je n'ai mis en following que des journaux en ligne, ou presque. Je n'utiliserai ce Twitter que pour suivre rapidement l'information.Des orages ont éclaté dans la nuit et la pluie est de nouveau tombée en fin d'après-midi. La température ambiante commence à chuter. Il est 20:33:50 heures. Sensiblement, les jours raccourcissent.

Cliquetis

Nous sommes déjà le troisième jour de Juillet. Je n'ai posté qu'un seul billet au cours de ce mois. Je ne pense pas rédiger plus de billets qu'en Mars... quoique...Je sais que quelques personnes s'aventurent encore jusqu'ici pour avoir de mes nouvelles, sachant que je ne consacre que très peu de temps à ma correspondance. Astrale me dit par mail qu'elle aime bien Horizon. Ça m'encourage à publier, parce que j'ai le sentiment que je suis sur la bonne voie.Je rédige la chronique décousue des heures, des jours, des semaines qui passent, centrée sur une vie faite de routines, isolée de tous les soubresauts qui secouent le monde. Une vie qui s'écoule facilement, simplement rythmée par le cliquetis des touches qui s'enfoncent dans le clavier du PC.

Followers

Je suis en train d'envisager la possibilité d'écraser tous les followers, ainsi que les following, sur mon premier compte Twitter qui va entrer dans sa troisième année le 25, à la fin du mois. Ce serait une façon de marquer le coup et de repartir sur une nouvelle base. On verra.

BBL a reçu une bonne nouvelle, professionnellement parlant. Je le signale, parce que ça marque un tournant important pour elle. Donc, tout va bien.J'ai de nouveau fait du classement dans mes fichiers sur le PC. Je me suis particulièrement occupé du tri dans les fichiers textes. J'en reparlerai plus tard.

J'ai sommeil, je raccroche.

Régression

J'ai demandé à BBL de m'acheter "La noblesse de l'esprit" de Rob Riemen, alors qu'elle se rendait en ville et passait par Sauramps.Elle est rentrée, deux heures plus tard, avec le livre en question, plus un bouquin de Slavoj Zizek : "Bienvenue dans le désert du réel" et un autre de l'antisémite Badiou : "Peut-on penser la politique ?".

Je n'en suis qu'au début de la lecture de "La folie de Dieu", un essai de Peter Sloterdijk, que j'ai commencé il y a déjà une quinzaine de jours, car je ne prends pas beaucoup de temps pour lire, en dehors de ce que je lis à l'écran.Il me faudrait lâcher le PC plus longuement, au cours des journées, pour me remettre à lire sérieusement. J'ai l'impression de régresser.

Mayura

Comme, je le disais hier soir, dans le post précédent, j'ai classé des photos, mais pour être exact, ce sont des "fichiers images" que j'ai classé. D'où la reproduction de deux images, détails de fractals, qui ornent le billet d'hier. Il me faut maintenant rechercher les logiciels qui m'ont permis de réaliser ces fractals. Je suppose que je les ai conservé quelque part sur le HDD.En attendant de me lancer dans ces recherches, j'ai ré-installé Mayura Draw 4.3, un logiciel de dessin vectoriel, très simple et très agréable à manier. J'ai donc affiché ci-dessus un détail de l'image rapidement dessinée pour vérifier que Mayura fonctionne parfaitement. C'est bien le cas : ça marche !

Tenir la route

Je devrais poster plus tôt sur Horizon. Je n'ai plus les idées assez claires pour écrire un billet qui tienne la route lorsque l'horloge indique une heure proche de minuit.Aujourd'hui, j'ai vraiment perdu mon temps : je n'ai rien fait de bien intéressant. J'ai lu pas mal d'articles sur la situation en Iran, mais rien de plus. J'ai aussi fait un peu de classement dans mes photos, ce qui était nécessaire.La seule chose qui soit à signaler, c'est le fait d'avoir écouté deux morceaux du groupe Mary My Hope, Communion et Death Of Me, sur Youtube. Malheureusement, je n'ai pas pu mettre la main sur le moindre mp3 de cet excellent groupe, dont j'ai perdu les albums. Je n'avais pas écouté Mary My Hope depuis plus de 10 ans.

¡Passa la vida!

Lazy Friday

Groutcha aime jouer les stars et poser devant la caméra. Mais ce soir, elle trouve qu'elle en a assez fait et que les températures sont encore un peu trop élevées pour prolonger la séance de poses.Elle restera couchée et refusera de faire le moindre mouvement tant qu'un peu d'air frais n'aura pas soufflé.